— Bonjour à tous et à toutes ! Après maintes négociations avec ma plume et ma muse, nous sommes fort heureusement parvenues à un accord. C’est pourquoi…
— Mag’, j’étais là, je te promets, j’étais sur le pas de la porte quand tu as commencé…
— Humpf ! J’espère que nos deux amies ne vont pas le prendre pour un affront personnel !
— Oh, non ! Mes douces… Je vous le promets, je ne vis que grâce à vous, je…
— Reprends-toi enfin, Gaëlle ! Nous leur avons promis un laïus à leur image : grandiose… Ne partons pas dans les supplications…
— Tu as eu des idées, toi, depuis la semaine dernière ? Car, moi, avec leur contrainte de ne pas avoir droit à leur génie créatif, j’ai été incapable de produire ne serait-ce qu’une seule ligne correcte.
Magali soupire.
— Et moi qui comptais sur toi pour me débloquer…
— Tu veux dire que tu sèches aussi ?
— Oui, c’est comme si j’avais perdu tous mes mots, je…
— Mais qu’allons-nous faire alors ?
Gaëlle se dévore les ongles, en proie à la panique.
— Si nous ne rédigeons pas cette déclaration d’admiration, plus jamais nous n’aurons d’inspiration… Et sans souffle créatif, nous ne pouvons rien écrire ! On tourne en rond…
Une ampoule s’allume au-dessus de la tête de Gaëlle.
— Oh, mais en voilà une idée de jeu, contentons-nous d’une base simpliste et sollicitons nos scribouillards !
— Mais bien sûr, nous aurions dû y penser plus tôt ! Génial ! Bon, il faut déjà leur donner une direction…
« Ma plume, Ma muse, vous êtes deux figures de notre chronique. Vous êtes indispensables à son fonctionnement. Vous aidez chaque semaine à l’élaboration et à la réalisation de nos jeux. Nous vous aimons. Nous voulons que vous restiez. Vous méritez notre respect et notre admiration. Nous avons de la chance de vous avoir à nos côtés. Merci à vous deux. »
— Chers joueurs, le jeu de cette semaine consiste en l’amélioration de l’éloge insipide ci-dessus par l’ajout d’adjectifs, de périphrases ou d’adverbes.
— Cet exercice vous permettra d’approfondir la transformation d’un texte épuré en un paragraphe tourné vers l’émotionnel. Il s’agit de travailler votre style et l’ambiance grâce à des fioritures, sans changer les éléments factuels, mais en apprenant à les mettre en valeur pour obtenir l’effet désiré.
— Maintenant, on croise les doigts pour que votre imagination dépasse la nôtre et que vos productions enchantent nos deux amies exigeantes !
— Mag’, tu crois qu’ils vont y arriver ?
— Oui, sans aucun doute !
— J’espère, parce que je ne suis rien sans elles, moi…
— Moi non plus, mais ne le disons pas plus fort, elles risquent de prendre la grosse tête !
« Divine Plume, Céleste Muse, seule la Majuscule vous convient, car vous êtes les deux piliers indispensables de notre chronique. Que dis-je? indispensables, irremplaçables, fondamentaux. Grâce à vous, nos jeux s’élaborent, s’organisent, se réalisent. Soyez assurées de notre indéfectible amour et de notre profond respect. Ne nous quittez pas, ne nous abandonnez pas sur le chemin du savoir et de la créativité. Soyez assurées de notre admiration sans limite. Nous sommes pleinement conscientes de la chance que nous avons: votre présence à nos côtés est une bénédiction et un privilège. Merci à vous deux d’être toujours là pour soutenir notre faiblesse. Que deviendrions-nous sans vous? »
Ma plume,Ma muse,quel bonheur d’être ensemble,vous êtes vraiment les deux figures
adéquat pour représenter nos chroniques tant attendues par nos amis scribes.
Vous êtes en plus, absolument indispensables, à nos cotés pour nous donner toute cette énergie qu’il nous faut pour accomplir la rédaction de nos chroniques. C’est un véritable plus,pour le bon fonctionnement de cette entreprise que nous voulons sans faille
Vous aidez,peut-être sans vous en rendre compte, pour que chaque semaine nos jeux soient à la hauteur de notre engagement envers nos charmants scribouillards
Et oui,l’élaboration de ces jeux,d’abord,et puis la réalisation de l’écrit,se font en partie grâce à vous !
Nous sommes « très attachées » à vous, c’est de l’amour que nous vous portons,nous
vous aimons tellement,qu’il nous est impossible de nous passer de vous, nous vous adjurons de rester à nos cotés pour toujours !
Vous méritez tout ce que nous ressentons envers vous, »c’est notre admiration sans
borne, sans aucun doute,notre considération pour votre aide,et puis, la cerise sur le
gâteau,,notre profond respect »
Nous avons eu la chance de vous rencontrer et de vous garder,,alors,vous avoir à nos cotés,c’est merveilleux !
A vous deux,un grand merci,,,nos deux petites chéries, sans votre aide,nous ne serions rien !!!
Il y a trop de nous et de vous mais j’ai eu la flemme de rectifier,il fallait que ça parte le temps toujours lui !
Oui Jacandre, tu as fait ta propre critique ! 😉 Rien à rajouter. A bientôt !
Ma plume, Ma muse, vous êtes les deux piliers de notre vie préférée . Vous êtes indispensables à notre épanouissement. Si vous n’existiez pas nous ne serions pas. Vous êtes l’essence de nos existences de rêveurs et de petits bafouilleurs ou de raconteurs d’histoire. Vous méritez notre respect et notre admiration, grâce à vous, nous imaginons, nous échafaudons, nous construisons, nous bâtissons des édifices de lettres, des montagnes de mots, des mondes nouveaux. Quel bonheur de vous avoir rencontrés. Mille mercis à vous deux. Plume, ne t’envole pas. Muse, retiens-la et tu la guideras.
Merci de ta contribution Véro d’O ! 🙂 Mais ce n’était pas tout à fait l’exercice, il fallait reprendre nos phrases et les améliorer par ajout 😉
Ma Plume, ma Muse, arrêtons de tergiverser !
Mais enfin, rendez vous compte du rôle que vous jouez !
Vous êtes toutes deux des figures incontestables de cette chronique. C’est bien simple, sans vous elle n’est rien !
Ouvrez les yeux bon sang, vous êtes indispensable à son fonctionnement ! Vous aidez chaque semaine à l’élabotation et à la réalisation de nos jeux. Tout ça, c’est vous aussi, et pas seulement Magali et Gaelle ! Et le résultat est merveilleux !
C’est pour ça que nous vous aimons ! Et pas seulement nous. Voyez le nombre de participants. Il augmente de jour en jour. Les gens parle de nous, et pas qu’en mal, croyez moi !
Vous voulez notre avis ? Je vais vous le donner. Nous voulons que vous restiez ! Un point c’est tout ! Ne partez pas, s’il vous plait. Votre rôle est essentiel. Sans vous nous ne sommes plus rien. Vous méritez vraiment notre respect et notre admiration. Votre travail est sans égal et nous avons de la chance de vous avoir à nos côtés. J’en profite d’ailleurs pour vous dire merci à vous deux. Merci pour tout ce que vous faîtes.
Je vous le demande encore une fois, s’il vous plait, ne partez pas. Vous êtes l’essence même de cette chronique. Sans vous nous serons perdu !
Oh merci Jérémie, elles ne voudront plus partir c’est certain !
Ô Gloire à vous , Ma plume,Ma muse,vous êtes nos deux figures inséparables de toutes les chroniques de nos charmantes dames d’internet… Elles vous ont choisies
vous préférant à Sheshat l’Egyptienne,associée à Calliope la Grecque ,ces deux déesses n’ont pas fait le poids face à vous !
Heureusement,depuis vous êtes devenues nos amours,nos deux Vénus !!!
Vous êtes absolument essentielles,même indispensables pour que nos jeux soient
bien élaborées avec éloquence chaque semaine.
Le fonctionnement de cette entreprise est, avec vous, résolument irréprochable et
toujours fin prêt, rien n’y manque.
Nous vous adorons,,,comme nos deux soeurs, surtout ne nous abandonnez pas !
Vous méritez notre estime , nous inspirant la confiance , nous attachons beaucoup
d’importance à votre présence … C’est vraiment Magique !
Nous avons le grand bonheur de vous avoir près de nous,,,à nos cotés . Alors,nous savourons tous les moments précieux que nous vivons ensemble,avec vous !
Avec nos remerciements,nos amitiés à vous deux et, Que Dieu vous bénisse …
C’est presque ça, génial Jacandre, elles seront ravies !
Ma chère plume, Ma magnifique muse, vous êtes les deux figures qui donnent du sens et des sentiments à notre chronique et nous permettent de créer tous les textes les plus inspirés. Vous êtes indispensables à son fonctionnement de par votre présence constante à nos cotés et l’aide que vous nous apportez. Vous aidez chaque semaine à l’élaboration d’une étincelle de vie et à la réalisation de nos jeux de création. Nous vous aimons, vous nous apportez la joie, la tristesse ou le bonheur, la vie en somme. Nous voulons que vous restiez, car sans vous les mots ne sont plus que des mots, les rêves disparaissent et plus aucune histoire ne nait. Vous méritez notre plus profond respect et notre admiration pour toutes les vies trépidantes que vous créer, les mondes entiers qui n’existe que grâce à vous. Nous avons de la chance de vous avoir à nos côtés et de profiter de votre temps pour écrire, rêver et changer le monde pour un instant. Merci à vous deux de la part de tous ceux qui existent grâce à vous.
J’adore Mado et Ma Plume Ma Muse sans aucun doute aussi !
Ma plume,Ma muse,vous les éléments essensiels et indispensables a mon inspiration.
Vous êtes les piliers de notre chronique qui ne tiens que par votre présence et votre union
pour exister et évoluer .
La réalisation de nos jeux ne perdure que par votre présence et votre fidélité
Notre amour pour vous est sincère ,et vous nous le rendez bien par votre présence,votre patience et votre bonne entente.
Notre lien avec vous est sans limite ,votre présence nous permet de nous exprimer et évoluer.
Soyaient la lanterne qui illumine nos écris .
Très joli Bencherif, même si ce n’est pas tout à fait ça, nos deux amies en rougiront !
Ma plume, Ma muse,
Vous êtes les deux figures de proue des vaisseaux portant vos noms et qui apportent depuis les lointaines contrée d’Imagination notre chronique. Vous êtes indispensables à son fonctionnement. Vous apportez votre aide précieuse chaque semaine à l’élaboration et à la réalisation de nos jeux fabuleux. Nous vous aimons tellement ! Nous voulons que vous restiez. Nous ne pouvons pas imaginer cette aventure sans vous. Vous méritez respect absolu et admiration sans limite. Nous avons même du mal à réaliser à quelle point c’est une chance de vous avoir à nos côtés.
Merci à vous deux.
Génial Manoue !!!
Ma chère Plume, vous qui pensez ne plus tremper votre plume dans votre encrier pour écrire quelques histoires, quelques mots dans cette qui enjolive la réalité. Ma chère Muse, vous qui voulez vous éloigner pourtant si indispensable à la création d’une histoire. De plus, si vous n’étiez plus là chère Plume et chère Muse que deviendrions- nous sans vous, nous serions là dans l’ennui. Alors, demeurez là pour alimenter notre créativité avec vos jeux de mots et vos petites histoires. Notre admiration est sans borne pour vous, précieuse Plume et vous chère Muse, car, il faut l’avouer, les idées bouillonnent lorsque vous êtes à nos côtés. Alors, restez avec nous, accompagnez-nous ne serait-ce que pour l’amour des mots qui est indéniablement en vous.
Merci Nicole pour ce joli texte même si il me semble que tu as modifié un peu le texte d’origine, Ma Plume et Ma Muse en seront ravies !
«O ma délicate plume, et vous ma précieuse muse, vous êtes sans conteste deux figures existentielles de notre chronique. Vous êtes indispensables à son fonctionnement et sans vous, l’encre se sèche inlassablement dans l’encrier noir de nos malheurs. Vous aidez chaque semaine à l’élaboration et à la réalisation de nos jeux. Vous êtes le souffle vivificateur de nos pensées et sans vous nous n’arrivons plus à trouver ces mots, si précieux, qui donnent vie à cette chronique si chère aux yeux de nos scribouillards qui, semaine à près semaine, se bousculent pour bénéficier de vos bien-faits intarissables. Sans ces mots, dont vous en êtes l’origine même, nos têtes ne pourraient que s’emplir de maux atroces. Sachez que nous vous aimons. Si seulement vous pouviez mesurer l’ampleur de cet incommensurable amour. Vous êtes tout et sans vous, nous ne sommes que des coquilles sans esprit. Nous voulons que vous restiez, nous vous en supplierons s’il le faut car malgré ce que nous vous avons fait, nous savons maintenant qu’il nous faut rester humble face à votre grandeur. À ce titre, vous méritez, plus que jamais, notre respect et notre admiration. Même s’il nous a fallut du temps et beaucoup de larmes, nous sommes conscients maintenant que nous avons de la chance de vous avoir à nos côtés. C’est pour cela que nous vous conjurons de nous guider jusqu’à ce que nos précieuses facultés cognitives viendront à flétrir et que nos corps las ne nous permettront plus de mener cette vie si merveilleuse. Merci mille fois à vous deux, car, vous l’avez compris, nous espérons que ce laïus saura apaiser votre colère à notre égard.»
Génial Aurore ! Je suis sûre que ça leur ira droit au coeur !
Ma plume, ma muse, vous seules pouvez incarner comme vous le faite si bien cette chronique, et si un jour votre défection devait être, elle signerait assurément sa fin. Ce n’est pas flagornerie de dire qu’un tel dégrée d’engagements dans la contribution et la réalisation de nos distractions ne se rencontre quasiment pas. Sachez que notre amour vous est acquis à jamais. Nos oraisons n’ont qu’un but, que vous soyer toujours à nos côtés. Loin de vous l’idée de ce que vous représentez à nos yeux candides, de cette gratitude et de cette passion que vous nous manifestons et qui nous animent. Car c’’est une vérité qu’il faut dire, peu de nous aurons, dans quel que temps que ce soit, la fortune de pouvoir être accompagnés de la sorte, il faut en avoir conscience mes amis. Pour cela et pour tout le reste nous vous en sommes gré pour l’éternité.
Que d’élogieuses paroles ! Merci pour elles Bouvaise ! Bon, tu n’as pas vraiment respecté les consignes (il ne fallait pas tant modifier le contenu, juste agrémenter l’existant), mais je suis certaine que tes mots doux porteront leurs fruits !
Ma charmante Plume, mon exquise Muse, je voulais vous dire que vous êtes deux figures Essentielles à notre chronique, certes remarquable, mais qui avec vous devient simplement exceptionnelle !
Vous êtes, mes Chéries, les organes vitaux indispensables à son fonctionnement. Votre activité est pour nous une question de survie médiatique. Vous nous aidez chaque semaine, avec votre incomparable talent créatif, à l’élaboration et à la réalisation de nos, de vos jeux si appréciés et vantés par nos abonnés.
Nous vous aimons tant que nous ne pouvons pas concevoir de travailler sans vous. J’écris travailler, mais user de vos services n’est en réalité qu’une partie de plaisir ; si intense que nous voulons que vous restiez près de nous à jamais.
Vous méritez, au combien, notre respect et surtout notre admiration infinie. Je me rends très bien compte que nous avons eu de la chance de vous avoir à nos côtés depuis le début de notre aventure rédactionnelle.
Je vous dis un grand merci ,à vous deux, pour tous les efforts que vous avez déployés pour nous distraire.
Je vous embrasse très fort et attends avec impatience votre retour.
Bravo Elisabeth, c’est PARFAIT !! Je suis certaine que nos deux mascottes seront enchantées et très touchées par ton message. Après ça, elles ne peuvent que revenir enjouées et pleine d’énergie ! 🙂 Merci !
Mon épouse m’a dit : Tu vois,c’est le moment de dire ce que tu penses de ces deux
« figures » ainsi que de leurs chroniques !
— Oui,,, au sens propre du mots, et comme toi,ma chérie,je n’ai pas de préférence !
Gaëlle,ma Gaëlle,et bien,elle se met en valeur en noir et blanc…Elle tient son Gibus,,,
(ne dit-on pas,travailler du chapeau ! être un peu fou,,,folle, mais chapeauter c’est avoir une supériorité sur quelqu’un ! ),elle regarde sur sa droite,vers le haut,,,sa jolie
frimousse,poupine me fascine,,,coquette,enchanteresse,coquine même …
Magali,ma Magali,a un sourire ravageur,sans fard apparent,ses belles fossettes,ses
dents blanches prêtes à croquer,et son air est si joyeux,qu’on aimerai être ami avec
cette charmante personne …
Toutes deux sont d’une efficacité remarquable, et, elles chroniquent sur des sujets
divers bien sûr essentiels, en élaborant leurs nouvelles annonces très bien muries
en parfaite harmonie,et puis en ouvrant la séance ,offrent leur texte à leurs chers
Scribouillards… Elles sont malignes,,, elles nous instillent à chaque fois, une petite
« dose » différente,qui obligent nos pauvres méninges et neurones à travailler à toute
vitesse et vraiment d’arrache-pied !Alors,au bout d’un moment assez court ,on fini
par plonger dans des élucubrations extravagantes afin de répondre à facétieuses
injonctions de nos vaillantes Maitresses ! J’ai dis malignes,car elles savent que ça va
nous exciter,,,nous leurs Scribouillards et paradoxalement ,,,nous attacher à elles,
c’est ce qu’elles cherchent,et pas pour leur beauté,ni leur intelligence,mais bien sûr uniquement pour » le jeux « qu’elles nous offrent ces Appats!
Je suis malheureusement attiré,pris au piège tendu,par cette incroyable entreprise
de soumission…Tâcheron,je suis devenu malgré moi ,je crois que j’aurai beaucoup de mal à m’extirper de cette affreuse position!
Toutefois et c’est le problème,nous nous prenons de passion pour vous »Maitresses »
bienveillantes et malignes .Nous vous supplions à genoux (en plus,nous y sommes)
pour que vous restiez pour toujours avec nous! Vous voir sur notre écran nous rend
dingues,mais heureux ! Vos deux visages resteront gravés à tout jamais dans nos
coeurs…Voilà ou on en est arrivé !!!
Cet amour,vous le méritez,vous avez mis la machine en marche,alors,rien ne pourra
l’arrêter !
Vous ne le voyez pas, mais certains font la genoufléxion quant vous apparaissez à
leur écran, il y en a qui sont vraiment toqués ! Moi,forcement,avec mon épouse à
coté,je reste en apparence Zen.
Nous vous estimons beaucoup,vos analyses sont justes à 96%,et c’est vrai,,,les 04%
ne doivent pas vous inquiéter,,,vous avez le droit de vous tromper n’es-pas ? donc
respect mesdames.De toute façon nous sommes épatés par vos connaissances de
l’individu,vos jeux inattendus nous surprennent souvent, on attends de pied-ferme
vos sujets avec beaucoup d’impatience .
C’est un véritable bonheur,une chance,de jolis et bon moments de vous avoir ,de
vous voir par un simple clic… On clic,vous apparaissez,si on est triste,aussitôt,ça va
mieux
A toutes les deux,on vous dit merci,portez vous bien et restez avec nous !
Soyez indulgentes pour les fautes ,les gentillesses et les méchancetés , merci d’avance
C’est adorable Jacandre, mais j’espère que nos deux amies ne vont pas prendre pour un affront cet éloge envers nous alors qu’il s’agissait de glorifier Ma Plume, et Ma Muse, nos mascottes ! T’essaieras-tu à refaire l’exercice tel que suggéré ?
Merci Magali,et j’ai encore été à coté ,bon ,je vais me rattraper à bientôt chère madame
Ô ma plume, ô ma muse, que serait cette chronique sans votre céleste présence ?
J’enrage ! Elle ne survivrait qu’à peine, désert aride, fange putride, cadavre pourrissant de mots enchevêtrés…
Las… votre aide aussi précieuse que le plus flamboyant des joyaux ne peut qu’exacerber l’amour que je vous porte, un amour plus pur que le cristal, plus désintéressé qu’un nouveau-né, un amour nu.
Restez ! Ne partez point ! Faut-il que je me prosterne à vos divins pieds ? Que je les baigne de baisers reconnaissants ?
Un seul regard de vous me comblerait à jamais, je pourrais alors me laisser dériver sur l’onde du Styx car plus rien ne n’importerait…
Merci…
Waouw chasseuse, quel beau texte ! On ne peut que s’arrêter devant cet essai fabuleux ! Merci ! Bon, par contre, il manque quelques faits n’est-ce pas, mais, est-ce qu’elles t’en voudront ? je ne pense pas ! 😉
» Mon épouse m’a dit,tu vois,c’est le moment de dire ce que tu pensesde ces deux « figures » et aussi de leurs chroniques.
— Oui,au sens propre du mots ,comme toi,ma chérie,je n’ai pas de préférence ! Bon,
Gaëlle,ma Gaëlle,elle se met en « valeur » en noir et blanc,elle rega
mon ordi deconne j’ai passé mon après midi rien ne va ça s’envoie tout seul bon à demain
Pour ma muse et ma plume.
Le premier jour où je vous ais lues, j’ai pensé : elles en font trop ! Ça leur passera.
Le deuxième jour, forte de constater Hé ! Hé ! Elles ont de l’idée pour leurs chroniques les petites.
Le troisième jour, elles ont pris part à l’élaboration et au fonctionnement, elles se sont vite rendues indispensables.
Dès le quatrième jour quel engouement ! Les voilà investies dans l’élaboration et la réalisation des jeux.
Le cinquième jour qu’est-il advenu d’après vous ? C’était fait, on les aimait !
Le sixième jour, elles ont eu un doute. Nous avons dû les supplier de rester. Leur avouer que sincèrement, elles méritaient notre respect et notre admiration. On leur a même chanté « Que serais-je sans toi »
Mais le septième jour, on leur dit : ça suffit maintenant ! Reprenez -vite du service ! Il y a toute une maison de retraite lâchée dans la nature, qui vous attend. Au boulot !
Avec toute notre affectrion
Dominique, même si les consignes ne sont pas respectées à 100%, je suis sûre que Ma Plume et Ma Muse seront ravies de t’avoir lue ! Merci !