— Coucou, Gaëlle ! Bonjour à tous !

— Bonjour, Magali. Comment vas-tu ?

— Bof. La chaleur, enceinte, ce n’est pas toujours facile à vivre. Surtout la nuit ! Je passe mon temps à changer de position pour rechercher la fraîcheur, mais je continue à transpirer. Je ne te raconte pas l’état des draps au matin et les poches sous mes yeux…

— C’est vrai qu’après un mois de juin aussi frais, le mois d’août nous paraît caniculaire, même si ce n’est pas vraiment le cas.

— Ne m’en parle pas !

— Tiens ! Cela me donne une idée.

— Je te suis, Gaëlle !

— Chers scribouillards, voici un exercice de saison : réchauffez vos ardeurs et faites brûler la matière grise, car vous allez nous décrire la transpiration de votre personnage. À vous de choisir le contexte : qu’il soit au milieu du désert ou dans le four d’une sorcière, on veut qu’il sue à grosses gouttes !

— Génial ! Et pour corser le tout, vous ne pourrez pas utiliser les mots : « chaud(e)(s) », « chauffer » (y compris conjugué) et le mot « chaleur ».

— Aie ! Voilà une contrainte bien cruelle.

— C’est surtout pour les stimuler à relever un défi.

— Je te reconnais bien là, Magali ! C’est à vous, les amis !


shutterstock_134639801— Alors, comment fais-tu pour te rendormir la nuit, malgré la chaleur ?

— J’essaye de me rafraîchir en ouvrant les fenêtres. Je mets le ventilateur, je me défais des draps, je bois…

— Ma mère me passait un gant d’eau fraîche sur le front et le dos, tu devrais essayer.

— Merci pour le tuyau !