— Hello, WonderMag !
— Euh, salut, Gaëlle, c’est quoi ce nouveau surnom ?
— Je trouvais que Mag n’était plus suffisant pour te décrire, qu’il fallait quelque chose de plus… percutant qui montrait ton intelligence et ta sagacité !
— Que de compliments, je suis touchée, mais je ne suis pas une héroïne, non plus !
— Si, tu es ma super héroïne de la Plume, de la rime…
— Tu te moques un peu de moi, ou bien ?
— Me moquer de WonderMag, moi ? Enfin, tu me connais, jamais je n’oserais…
*Clin d’œil au public *
— Tu es bien taquine, mais c’est vrai que j’ai quelques superpouvoirs, mais pas ceux qu’on voudrait !
— C’est-à-dire ?
— Eh bien, le genre du tien, tu vois…
— Comment ça, du mien ? Qu’est ce que tu insinues ?
— Eh bien ! Ta maladresse légendaire ou encore ton incapacité à être à l’heure !
— Bon, OK, je l’ai bien mérité, mais c’est vrai qu’on peut avoir des « talents » pénibles !
— Oui, imagine, le pouvoir de super glue ! Tu ne pourrais plus rien toucher au risque de t’y retrouver englué !
— Ou pire, la faculté de faire voler le papier autour de toi, pratique pour les avions, impossible pour écrire-un-roman…
— Plein d’idées me traversent l’esprit et nos scribouillards vont adorer ce jeu, je crois !
— Je pense aussi, alors, chers amis, à vous d’imaginer un héros avec un superpouvoir farfelu, limite handicapant !
— Je sens qu’ils vont encore nous épater !
— J’ai hâte de découvrir leur héros looser !
— Oui, mais, honnêtement, tu penses vraiment que je suis une WonderMag ?
— Évidemment, tu es géniale !
— Tu es trop gentille, je retire ce que j’ai dit !
— J’espère bien…
Bonsoir !
Je pensais que cette abominable créature marine était hors de combat avec l’horrible blessure au ventre que je lui avait infligé! Alors que soudainement, avec ses énormes griffes elle tente d’arracher les mailles en acier du filet qui l’emprisonne!
Je vais être obligé d’activer mes pouvoir farfelus pour éradiquer ce fléau des mers, calamité des océans, avec ses pattes
de taupe à griffes rotatives allongées, il est fort possible qu’il vienne à bout du filet en quelques minutes ! Son sang couleur
mauve orangé s’écoule de sa blessure se dispersant dans l’eau, devenant des sortes de gouttelettes par millier . Regardant
la scène à distance, un groupe d’une dizaine de pieuvres poulpeuses, prudes, pudiques, mais pas provoquantes agitent leurs bras en sarabande sardoniquement, voir ces êtres peureux si près est héroï-comique ! Le spectacle attire du monde
trois bernard-l’ermite chatoyant sont à l’arrêt , il y a même,chose curieuse des papillons farfelus ! C’est gonflé pour eux de
venir ici dans cette eau salée ! Ils sont vraiment magnifiques, un superbe Zygène de la filipendule , accompagné de deux
Machaon grand porte queue ! C’est de l’héroïcité pure! C’est dur pour eux de voler ici ! Les pauvres ! Il y a aussi plein de
poissons curieux, daurades, merlans, turbos, rouget, maquereaux, harengs, soles, bars, rascasses, colins, thons, saumons,
roussettes, tacots, grondins, morues, colinots, cabillauds, lottes, merlus, etc… Et puis, un couple de joyeux et chaleureux
dauphins qui tournoient, manigance, repartent et reviennent, semblant très intéressés par le terrible spectacle .
L’affreuse créature pousse un cri puissant et inaudible, mais qui fait des bulles et des vagues successives emportant des sardines mortes recrachées par la bête, ce tsunami me bouscule, mais je me tiens fermement au manche de mon harpon!
Des vautours marin se regroupent attendant la curie ! La bête secoue dangereusement le filet ! Il est temps d’agir !
J’ai deux pouvoirs farfelus : Le premier qui peut être mortel est composé de gaz ! Ces gaz sont le fait de l’absorption en très
grande quantité de farfales farfelus aldantes assaisonnées de poudre de perlin pin pin, ce qui me permet d’expulser des gaz aussi bien par le haut que par le bas ! Mortel ! Le deuxième, très efficace aussi, est électrique . C’est grâce au système
magnéto-alternateur à poussée radiale et hydraulique que je stocke le courant électrique fluide et liquide pouvant être projeté sur un être vivant dans l’environnement marin . C’est avec cette arme expérimentale qui me donne un pouvoir absolu que je vise la tête de la bête en transe qui vocifère ! Des étincelles se forment entre ses yeux, l’action est efficace,
le mastodonte est enfin terrassé! J’actionne aussitôt la corde qui relie le filet au bateau, qui va permettre sa remontée !
Ma mission se termine, je n’ai pas eu besoin de me servir du parachute à bas fond, ni du lance fusées à pétard mouillé, ni
de mon poignard à découper les entrailles, ni enfin du pistolet à eau (inutile ici )
La farfelitude des pouvoirs insolites même avec un commentaire complètement absurde ne doit pas être pris à la légère !
.
Je vais pouvoir aller dégazer dans un endroit calme et sans témoins !
Haha, très fort ce pouvoir Jacandre ! En effet, un dégazage peut être un pouvoir très utile mais aussi très handicapant ^^ Tu pourrais nous raconter de nombreuses histoires cocasses qu’a vécu ton super-héros ! 🙂
Oui,je pourrais ! Je vais y réfléchir, je te remercie Gaëlle, mais je suis étonné que tu t’intéresses aux dégazages ! Je vois que ce n’est pas qu’une affaire d’hommes ! Que je suis bête ! Je te prie de bien vouloir excuser ma méconnaissance de ce sujet passionnant !
Bonjour !
Le délire m’habite, je n’arrive plus à m’en défaire,
Mais il y a tellement de belles choses dans la mer.
Mélange mystérieux, du vécu,
du fabuleux, du farfelu !
Bien apprêté en tenu de plongeur, avec en plus, mon harpon bien affuté équipé de son hélice hélicoïdale pour affronter l’être
malfaisant, cette ignoble créature abominablement laide et qui se déforme aux gré des flots , sorte de silure crétacé aux bras
cornus. Cette chose inclassable se transforme sans cesse et dévore tout ce qui flotte ou nage pour apaiser sa faim, mais aussi
sa haine de tout ce qui vit ! Elle demeure principalement sur les bas fonds, dans une yourte Neptuniènne ( unique ) gardée par des murènes écourtées aux écailles floutées tournant autour, se relayant prêtes à mordre tout intrus ! Aux alentours immédiats une cohorte d’ hippocampes dressés,en rang surveille les alentours , ainsi que le déplacement lent des quelques
Ornithorynques presque inertes. A proximité, un vautour marin ( espèce rare ) fouille de son bec crochu et acéré dans la vase dense et opaque, qui recouvre des algues noires, refuge des crabes, étrilles et autres crustacés. Des énormes tourteaux
se glissent sous la vase, ils recherchent surtout des coques malades et même des praires ou des palourdes mortes ,et ça, ils en raffolent, mais souvent de malicieuses araignées sont déjà passées ! Alors ils sortent de leurs cachètes et lèvent leurs pinces en signe de désespoir ! Quelle tristesse !
Remontant la pente vers les hauts fonds, je rencontre deux bars parallèles qui me regardent d’air affolé, un peu plus loin se
tient frétillante une bar fixe, qui me lance un regard du genre éploré ! Je continue à chercher le monstre, qui n’était pas dans sa yourte, je souhaite le rencontrer, le harponner,l’ emprisonner dans mon filet d’acier . En attendant cette bataille marine décisive, je me régale dans cet environnement si beau et plein de vie, tout en étant vigilant car le monstre peut arriver sans coup férir!… Un énorme mérou semble m’ignorer, mais me regarde en douce, une murène maussade sort de sa cachète à mon passage et semble ne pas aimer du tout mon intrusion dans son domaine . Plus loin, sur la vase une famille d’anguilles
se prélassent, peut-être s’apprêtent-elles à partir pour les Sargasses ! Un banc de maquereaux multicolores passent en faisant frissonner l’onde . Soudain, je le vois, il s’approche, ce monstre est impressionnant, heureusement, j’ai de quoi le défier, il avance en zig zag, flotte avec aisance malgré son imposante corpulence, il est à trois mètres de moi, je dois agir vite
Je lui envoie mon harpon affûté à hélice hélicoïdale qui pénètre profondément dans son ventre poilu, musclé, l’obligeant à se
tordre de douleur et d’un air surpris ! J’en profite pour lui envoyer mon filet d’acier pour l’emprisonner ! L’hélice de mon harpon étant bien ancré dans ses chairs, je pensais que cette abominable créature était hors de combat ! Mais c’est à ce moment là qu’il …..
A SUIVRE !
raffolent, mais souvent,les araignées sont déjà passées
J’attends impatiemment l’apparition du pouvoir farfelu de ton personnage !
Bonjour !
Les dauphins, les filets et les hommes !
Bernard et son épouse Nicole sont avec leur ami René sur leur petit bateau pour une promenade en mer. Par cette belle matinée de juillet très ensoleillée, ils longe la côte de Saint Jean de mont à une bonne encablure du village .Quant, soudain,
une troupe de dauphins agités entourent notre embarcation, tandis que 6 ou 7 d’entre eux bondissent, la tête hors de l’eau
et poussant des cris à n’en plus finir, tout en nous regardant, se relayant pendant plusieurs minutes, ce raffut nous inquiète
et Bernard déjà en slip de bain, met ses palmes, prend sa ceinture et son poignard, fait un bisou à Nicole et dit à René prend
la barre, je vais voir ce qui se passe, Nicole lui dit d’être prudent !…. Ils ont eu vraiment très peur ! Bernard va vous raconter !
Au début, j’ai nagé en surface en suivant les dauphins, pendant près de 200 mètres, ensuite on a plongé, et descendu, de plus
en plus profond, je suivais cette troupe d’au moins 30 dauphins, c’était impressionnant, je n’en voyais pas le fond, j’avais très
peur, j’étais surpris, étonné, comment puis-je tenir sans air? Sans pouvoir respirer et puis il y aura le retour et puis Nicole va
s’inquiéter ! Pourtant, je n’éprouvais aucune gène, moi qui avais du mal à rester une minute sous l’eau. Enfin on est arrivé au fond ! Il y avait un amas de plusieurs filets de pêcheurs emmêlés et accroché à un rocher, dessous, prisonniers deux pauvres
dauphins, je pensais, si je remontais pour rassurer Nicole et René, mais impensable, 30 dauphins m’entouraient attendant que
je m’active pour sauver la maman et son petit et puis c’est tellement loin ! Alors,je me suis attaqué aux mailles avec mon ardeur
mon couteau coupait sans s’arrêter, jusqu’à libérer nos amis ! La dauphine mal en point arrivait à nager aidée par deux de ses congénères, et le petit, je l’ai pris contre moi et nous sommes remontés le plus vite possible, il a pu respirer à l’air libre et
alors que je regardais ma femme, toute la famille des dauphins m’ont fait une fête incroyable, les 30 déchainées sauta
Les trente dauphins déchainés sautèrent dans tous les sens criant de joie, venant se frotter contre moi faisant un remous tout
autour ! la dauphine, je crois est venue » me parler » en me regardant pour me remercier !… J’avais hâte de remonter dans le bateau pour embrasser ma femme qui pleurait de joie ! Pensant que je m’étais noyé, il était impensable que je puisse rester
dix minutes dans l’eau sans remonter pour respirer ! Donc, c’était sûr je ne reviendrais pas et ça a été la peur de sa vie ! René lui aussi était persuadé qu’il avait perdu son ami . Mais je pensais à eux et ne pouvais rien faire pour les rassurer !
C’est un exploit incompréhensible , dix minutes sous l’eau en faisant des efforts, sans gêne ni essoufflement ! Et pourtant, mon record est de une minute et vingt secondes ! C’est le mystère des Dauphins !
Merci à Nakajima qui m’a mis sur la voie !
C’est pas mal du tout Jacandre ! Le pouvoir manque de « farfelu » à mon goût, je suis sûre que tu auras une autre idée plus handicapante encore pour ton personnage ! ^^ Tu aurais pu raconter qu’il était un aimant à Algues et qu’on le confondait avec Cetelem’ par exemple ! Continue de creuser la piste de la mer, ça t’inspire, visiblement.
Comme Gaëlle me l’a fait remarquer, j’aurai pu vous raconter cette anecdote de nos deux héros en herbe. Figurez-vous que c’est à l’âge de douze ans que les prémices des supers-pouvoirs de Captain Chantilly se manifestèrent. Michael était un jeune garçon un peu à la traîne, charrié en permanence par les autres élèves et très vite abandonné par ses professeurs. Entouré de tous et pourtant seul au monde, il regardait avec envie le jeune John, si plein de vie, la coqueluche de toute la classe. Il se demandait pourquoi il était si populaire ? Qu’avait-il de plus que lui ? Bof, après tout, il ne le saurait sûrement jamais. Pourtant, ce jour-là, tout a basculé. Michael ne se sentait pas très bien. Il transpirait à grosses gouttes, accablé de chaleur à l’extérieur et gelé à l’intérieur. Il sentait sa chemise trempée, mais d’un naturel si discret, il ne demanda pas à aller à l’infirmerie. John, la petite terreur, avait quant à lui, fabriqué une sarbacane avec un vieil effaceur. Bang, le voilà qu’il tire dans le mille ! Il avait atteint son but, les fesses du professeur de biologie. Il se retourne furieux et ce chenapan de John pointe le pauvre Michael du doigt. Le professeur, fou de rage se précipite au-devant de cet innocent honteusement accusé. Mais voilà, le drame arriva. Le prof glissa dans une gigantesque flaque de chantilly fondue et se démit l’épaule. Il vit Michael dégoulinant d’une substance blanchâtre. Il mit du temps à se relever, et prenant Michael par la chemise lui enjoint de le suivre avec son cartable jusqu’au bureau du proviseur. Tandis que tous les élèves se moquaient du pauvre infortuné, John les suivit discrètement. Il colla son oreille contre la porte. Michael allait se faire renvoyer sous prétexte d’avoir été irresponsable. Le fait de jouer avec une bombe de chantilly en pleine classe et provoquer un accident était inacceptable. John, si gentil au fond et plein de remords, entra sans frapper. Il expliqua à grand peine qu’il était le seul fautif de cette mésaventure et personne ne le cru jusqu’à ce qu’il fasse remarquer à son auditoire que sans « l’arme du crime », ils ne pourraient rien prouver. Cette analyse pertinente lui valut d’être en retenue les trois samedis suivants avec son camarade. Michael perplexe, l’interrogea sur les motivations qui l’avaient poussé à venir à son secours. John, prenant la main de celui qui allait devenir son meilleur ami, lui répondit simplement : « Parce que j’ai enfin trouvé un frère ». Michael regarda la pomme qui venait d’apparaître mystérieusement au creux de sa main et comprit qu’ils ne se quitteraient plus jamais, amis pour la vie.
Wouaaa ! Super Nakajima, j’adore ! ^^
Michael et John sont très malheureux. Ces deux amis d’enfance ont beau tenter de se réconforter l’un l’autre, rien y fait. Il faut dire que le club des Supers-Héros vient de rejeter leur candidature. Plus tôt dans la soirée, Mister Cold, très gentil du reste, leurs avait remis un pin’s de l’association. Une étoile dorée avec « Hero’N’Co » en relief et en lettres rouges.
— Je suis désolé les gars, mais mon avis n’a eu aucun poids. Ils n’ont pas accepté de faire votre intronisation.
— Pourquoi ? Nous aussi, avons des supers-pouvoirs ! S’insurgea Michael.
— C’est vrai ! On est capables de protéger la population, au moins autant qu’eux. Surenchérit John.
— Ils ont dit que, vos pouvoirs sont aussi nazes que vous. Je suis navré. Dit Mister Cold, compatissant.
C’est comme ça, qu’ils se sont mis à déprimer. Soudain, le téléphone sonne, Mister Cold est à l’autre bout du fil. Le brave garçon vient d’être appelé pour un cambriolage et les convie à l’aider. C’est leur chance de montrer au monde leurs atouts.
Les voilà sur la route, affublés de leurs beaux costumes. Captain Chantilly et Frutti Dream à la rescousse ! Mister Cold est déjà sur les lieux, il a l’air en fâcheuse posture. La glace qu’il projette, lui sert de bouclier contre un lance-flammes. Les monstres, ils avaient tout prévu. Les autres ravisseurs s’enfuient, couvert par leur pseudo-guerrier dragon. Qu’à cela ne tienne ! Captain Chantilly, Michael, projette sa mousse crémeuse et immaculée sur le sol, il s’en sert comme d’une patinoire. Il en a l’habitude, il file à toute allure, percutant de plein fouet les deux larrons essayant de se faire la belle. Au même moment, Frutti Dream, John, jette des bananes aux pieds de l’assaillant qui perd l’équilibre en marchant dessus. Il finit par l’assommer avec une pluie de melons et de pastèques. Les voilà hors d’état de nuire !
— Merci les gars ! Sans vous, j’étais perdu. Lance Mister Cold, plein de gratitude. Si avec cet exploit, ils ne vous prennent pas dans le club, se seront eux les nazes.
— S’ils ne veulent toujours pas de nous, dit John, Avec mes fruits, ta glace et la chantilly de Micheal, on aura plus qu’à se lancer dans la vente de banana split !
Ils pouffèrent de rire tout en ligotant leur butin.
Moralité : Ils n’y a pas de petites gens dans la vie, mais seulement des esprits étriqués, incapables de voir la vraie valeur d’autrui.
( Désolée pour la longueur du texte, mais j’ai beaucoup aimé l’intitulé 😀 )
Bonjour Nakajima !
Très amusant et farfelu, j’aime bien, attendons le verdict des Dames « patronnesses »
Moi, je suis en difficulté, impossible de trouver un sujet, mon imagination est au plus bas !
Toi, tu as fait un truc, je suis jaloux ! A bientôt !
En fait, je n’ai aucun mérite. Je suis une fan de la série Hero Corp et Simon Astier, alors ça aide 😉
Toi qui aimes les beaux paysages, les bateaux, la mer… pourquoi ne pas chercher de ce côté-là ? Il y a sûrement des idées à « pêcher » qui pourraient être très intéressantes 🙂 (pourquoi pas un plongeur qui se transforme en poisson, ou bien un marin qui crache des filets de pêche ? Ou encore un homme avec de planches de bois en guise de pieds, pratique pour le ski en montagne 😉 laisse ton imagination vadrouiller, je suis sûre que tu vas nous étonner comme toujours)
Oh ça fait plaisir cette entraide ici ! ça me fait chaud au coeur! Bravo Nakajima, en effet chantilly et fruit c’est pas ce dont on pourrais rêver, mais au moins ils n’ont jamais la fringale comme ça 😉 Bon je chipote, je chipote, mais j’aurais bien aimé avoir le côté négatif de leur pouvoir un peu, ça aurait été très drôle 😉
Mais, tu as un pouvoir magique ! Ton petit mot gentil a eu un effet miraculeux chère Nakajima ! En effet depuis, j’ai
quelques neurones, pas tous, qui ce sont débloquées ! La mer m’appelle, je vais la suivre, c’est une bonne idée …
Bonjour !
L’histoire est farfelue inventée sur le champ !
Noël Sapin et Sauveur bienvenu sont les acteurs de cette petite histoire …
Noël, menuisier de son état, fabriquait quelque fois des sabots de bois,
Sauveur venait lui commander une paire de sabots de bois à bouts relevés,
Noël le reçu bien sûr dans son bel atelier, et se remit aussitôt à l’ouvrage ,
Montrant ainsi à Sauveur comment se fait la fabrication et le façonnage,
Mais une lame affûtée de son outil soudain trancha de sa main quelques doigts,
Détruisant l’avenir du menuisier qui sans sa main ne pouvait travailler son bois,
Aussitôt Sauveur le secouru, le soigna de son mieux , la main de Noël fut sauvée…
Quelques années plus tard, Sauveur eut un accident ,perdant une jambe et des dents,
Noël apprit la chose et son art lui permis de fabriquer pour son ami une jambe en bois,
Qu’il vint offrir à Sauveur pour qu’ainsi il puisse remarcher presque comme avant,
Heureux tous les deux fêtèrent ce beau jour, ils burent beaucoup et eurent la gueule de bois !
Sauveur venait voir son ami en claudiquant .
En marchant, le sabot faisait clac ! et le pilon faisait clouc !
Le pauvre sauveur n’avait qu’un sabot de bois ,
Et un pilon avec un embout en caoutchouc …
Bonjour Jacandre, en effet, c’est farfelu, mais où est le superpouvoir ?
Sauveur Bienvenu,qui porte bien son nom a sauvé la main de Noël Sapin,qui porte bien son nom aussi Sapin pour un menuisier ! Les doigts de sa main étaient tranchés… Je n’ai pas assez expliqué l’importance de sa blessure,mais Sauveur a bien sauvé la main du menuisier et bien sûr le Bienvenu. Merci Gaëlle bonne soirée. J’espère trouver une histoire avec un réel super pouvoir !