— Salut, la compagnie !
— Hello, Mag’ et les scriboubou !
— Ah ! Tu ne vas pas recommencer ?
— Ben, quoi ?
— La dernière fois que tu as commencé comme ça, c’était la chaleur qui t’avait fait partir en eau de boudin. Tu veux une bonne douche froide, cette fois ?
— Waouw, j’en connais une qui est en mode glaçon, là !
— N’exagère pas.
— Tu m’as un peu cherchée, avoue-le.
— Oui, c’était maladroit… Mais c’était pour introduire le thème du jour !
— Tu veux dire la continuité de notre hommage aux cinq éléments ?
— Oui ! Chers participants, nous vous proposons de rédiger un texte très court autour du champ lexical du deuxième élément : L’EAU !
— De quoi se plonger dans les profondeurs de votre…
— Stop, Gaëlle ! Arrête un peu…
— De quoi ? Allez, c’est à vous ! Éclaboussez-nous de votre créativité !
— Décidément, tu es vraiment incorrigible, Gaëlle…
— Tu sais que j’adore les bons jeux de mots…
— Il est vrai qu’après le bel anniversaire qu’on a fêté pour la chronique…
— C’était la moindre des choses que de continuer sur notre lancée. Je suis d’accord !
— Tu lis dans mes pensées ou quoi ?
Le souvenir.
C’était une belle journée ensoleillée. La chaleur écrasante l’étourdissait. Paul sentait son front perler ; sa chemise auréolée collée contre sa peau, lui donnait l’impression qu’elle absorbait petit à petit son corps. L’air était chaud, pas une brise, il avait même épuisé ses derniers glaçons.
Avachi dans son canapé, il s’y enfonçait de plus en plus, capitulant face à cette lourde chaleur. Enfin, petit à petit, son esprit s’évada, il se laissa aller à des rêveries.
Des visions plein la tête, il pensait à elle, oui elle, tellement belle, grande, élancée. Il la revoyait le jour où il la visitait pour la première fois. Elle était là, elle dansait, ondulait de tout son long. Elle dégageait une telle fraîcheur, toujours transparente et pleine de surprise. Parfois elle était si douce et parfois tellement déchainée mais elle lui donnait toujours envie de s’abandonner à elle. Il voyait en elle, le reflet de sa propre personne, elle seule savait lui montrer qui il était réellement.
Oui, il se souviendra toujours de la Cascade de son enfance.
Très sympathique ce petit texte ! Bien amené. Merci !
bonjour,
Le 25 juillet , j’ai envoyé un commentaire décrivant un moment vécu, un moment, pour moi très émouvant, d’un séjour en Lozère
et qui concerne la descente et la remontée du Tarn dans les années 50 … J’aimerais avoir votre avis chéres Dames !
Commentaire écrit ! Désolée pour le retard…
Il faudrait que je me jette à l’eau, que je cesse de ramer et d’attendre que le courant me pousse…. La plume me démange…. mais elle est encore trop mouillée pour me permettre de m’envoler…
Ahah ! Bravo Dominique ! Ta plume mouillée ne t’a pas vraiment empêcher de rédiger un petit quelque chose… 😉
Bonjour tout le monde !
L’eau claire du Tarn …
Victor,le fils de l’hôtelière m’a dit : Si tu veux, demain, après avoir descendu, nous remonterons les barques avec Irma notre douce jument !
A l’embarcadère de La Malaine (gorges du Tarn) , nous étions quatre et Victor à prendre place dans la barque à fond plat, en
mois d’Août 1948 … Cette petite expédition, était la descente de la jolie rivière qui serpentait dans les magnifiques gorges du
Tarn, un des plus beaux sites de France . L’eau fraiche, claire, et si transparente que l’on voyait les bas fond de plus de trois mètres et les nombreux poissons, en majorité des truites . On laissait trainer nos mains dans cette eau bienfaisante, en cette
chaleur ! Le spectacle sublime commenté par Victor, la descente tranquille portée par ce cours d’eau , presque avec douceur
calmement, entre les immenses parois rocheuses de plusieurs centaines de mètres qui semblaient par endroit vouloir se
toucher assombrissant la rivière qui se fraye un « chemin » dans ce méandre naturel !
Irma nous attendait de sabots ferme, c’était une magnifique jument Comtoise alezan à crinière blonde . Attelée, les genoux
immergés, prête à remonter la rivière en tirant les sept barques attachées à la queue leu leu . Son intelligence faisait qu’elle
se dirigeait toute seule prenant les virages, tantôt à droite, tantôt à gauche afin d’éviter les profondeurs ! Par endroit elle avait
de l’eau jusqu’aux genoux , à d’autres les jambes, les avant bras, le ventre dans cette eau glacée ! A un seul endroit,elle était obligée de nager, avec Victor, nous l’aidions avec nos perches, il fallait lutter contre le courant en tirant ces lourdes charges !
Un peu plus loin on lui demandait de s’arrêter dans 50 centimètres d’eau ! mais cette eau fraiche n’était pas très agréable pour Irma ! Après plus de deux heures 30 d’effort nous arrivions à l’embarcadère ! On se précipitait pour délivrer Irma de ses liens
et une fois sortie de l’eau on lui frictionnait les membres pour les réchauffer ! Elle était un peu essoufflée et en sueur ,mais toujours son regard si doux ! Je suis un peu ému en repensant à Irma la douce gentille jument qui comme ses congénères ne
pouvait faire ce travail que trois saisons à cause de cette eau trop froide pour leurs « jambes »
Bravo Jacandre ! L’eau est bien décrite et l’histoire bien construite. Super !
Dans cette phrase, je veux dire que l’eau ( la pluie ) est la cause de chaque actions.
Oui c’est plutôt étrange dis comme ça ! 😉
C’est ce qu’il me semblait avoir compris, mais je n’arrive pas à comprendre le lien avec le reste de ton texte, voulais-tu dire que les actions des personnages sont dues à la pluie?
Pour la plupart oui ! 🙂
Bonjour !
Je n’ai pas le temps de peaufiner, je me dépêche avant que l’eau soit évaporée …
J’ai fait une liste concernant l’eau ! Plus de 50 appellations, plutôt que d’en faire l’énoncé, je préfère une petite histoire vécue avec de l’eau .
Vers l’année 1933, chez mes grands-parents à Bougival, petit village au nord de Versailles, j’avais 3 ans, ma grand-mère
me lavait dans une lessiveuse à moitié remplie d’eau qu’elle allait « tirer » au puits dans le jardin, elle mettait de l’eau chaude
du bain-marie de la cuisinière qui chauffait la cuisine . Elle me lavait avec du savon de Marseille, on rigolait, on était heureux !
Quelque temps plus tard, avec mon grand-père on allait se promener aux bords de la seine, il m’apprenait à faire des ricochets
avec des cailloux plats, on regardait l’eau qui glissait dans un léger courant. Des canoés , des barques passaient, j’aurais aimé être avec les gens dans ces petits bateaux, ils avaient l’air d’être heureux ! Soudain un gros remorqueur s’annonçant par le
bruit de sa machine apparaissait suivi par les péniches qu’il trainait vigoureusement ! Une odeur forte de fumée de charbon
arrivait jusqu’à nous ! L’eau « bouillonnait » derrière le remorqueur, brassée par l’hélice qui tournait, ( entrainée par la machine à vapeur ) me disait grand-père ! On le suivait, on comptait les péniches qu’il tirait, douze, chargées, enfoncées dans l’eau à
raz bord … En arrivant à proximité du pont, le batelier baissait la grande cheminé pour passer dessous , on se dépêchait pour
arriver à l’écluse afin d’assister au spectacle ! Comme ils allaient vers l’aval, le niveau après l’écluse était quelques mètres plus
bas … On assistait à l’arrivé du remorqueur qui entrait dans l’écluse assez vite pour que les péniches puissent glisser avec suffisamment de vitesse pour venir se ranger le long des 220 mètres sur 17 mètres de large, il fallait les arrêter, les bloquant avec des cordes aux bittes d’amarrages. Une spectacle silencieux que cette arrivée de ces bateaux de 35 mètres qui avançaient
par l’élan entrainant cette masse inerte jusqu’au terminus ! Elles venaient toutes se ranger les unes à coté des autres ! Les deux
grosses portes manoeuvrées par l’éclusier se refermaient pour permettre à l’écluse de se vider partiellement pour arriver au niveau du fleuve afin que le train des douze péniches repartent vers le nord ! Les vannes ouvertes laissaient s’écouler l’eau
à grands flots et on voyait l’ensemble des bateaux descendre doucement dans cette enceinte fermée ! On restait pour assister
au départ ,c’était un beau spectacle , on voyait les cordes se tendre, et les péniches sortir une à une liées entre elles par 8 à 10 mètres de grosses cordes ce qui faisait un ensemble de plus de 500 mètres !!!
En rentrant à la maison, sur le chemin du retour ,mon grand-père me montrait » La machine de marly » ,c’était un bâtiment d’où sortaient de gros tuyaux qui montaient sur plusieurs centaines de mètres vers un autre bâtiment ! C’est le roi louis XIV
qui a fait faire cette machine pour alimenter en eau le château de Versailles me dit grand-père et puis, c’est à près de quinze
kilomètres d’ici et 450 mètres plus haut que la seine !
Ah les écluses, les bateaux tout ça, ça donne envie de vacances !
Bonjour Gaëlle !
Mon petit commentaire te donne envie de vacances en bateau ! Bon !!!
L’état d’esprit aujourd’hui c’est : On se fout de toutes ces « choses » qu’on vécus nos parents, même ce qui était instructif hier,aujourd’hui les gens trouvent que l’histoire de nos ancêtres n’est pas intéressante, d’ailleurs on veut supprimer tout un pan de notre histoire… De toute façon, ce n’est pas très motivant, raconter des histoires d’antan vécues par des gens qui racontent leurs vies d’enfant , il y a 70/80 années et qui n’intéressent pas cette génération perturbée , ça nous rend triste, nous les vieux …
Un enfant de trois ans que sa grand-mère fait prendre son bain dans une lessiveuse, avec de l’eau qu’elle remonte du
puits de son jardin et ensuite rajoute de l’eau chaude du bain marie de sa cuisinière à charbon pour que l’ea
que l’eau soit tiède, c’est très connu, ce n’est pas la peine d’en parler, de l’écrire ! Sacré scriboubou tes histoires c’est
du réchauffé ! Et ton remorqueur à vapeur tirant 12 péniches qui viennent se ranger dans la plus grande écluse de
France qui fait 220 mètres de long sur 17 de large c’est très connu ! La machjne de marly qui pompe l’eau de la seine pour alimenter les grandes eaux du château de Versailles sur 15 kilomètres et 450 mètres de dénivellation ça
aussi ce n’est pas une « nouvelle » Alors, Jacandre, on te demande uniquement de nous rédiger un texte très court sur le deuxième élément : L’eau ! point … Les vacances en bateau, ce n’est pas à l’ordre du jour ! T’as compris ???
Ah bon? Personnellement, je ne me fous pas des choses qu’on vécus mes parents ou mes grands-parents, bien au contraire. Cela me rend d’ailleurs nostalgique de leur époque (si l’on peut être nostalgique de choses que l’on a pas vécu) quand ils me racontent leur enfance. ça me fait le même effet en lisant tes textes, j’ai l’impression d’ouvrir un vieil album aux photos jaunies qui sent bon le vrai, le calme, le bonheur des choses simples ! Nous sommes peut-être une génération perturbée, certes, il faut dire que la société ne nous aide pas à nous sentir bien dans notre vie.
Mince mon commentaire n’est pas au bon endroit… Flûte !
bonsoir Gaëlle !
J’espère que tu ne m’en veut pas ! J’étais en colère que ton commentaire ne tienne pas compte des choses de
mon récit qui sont tellement, disons « obsolètes » et qui me font venir les larmes aux yeux en y repensant .
Merci de ta réponse, excuse moi de t’avoir « bousculé » !
L’eau
Source de vie et de joie, source de peur et d’effroi.
A la fois régénératrice et destructrice, sachant donner la vie et la reprendre.
Selon son gré, elle se répand tel un fluide nourrissant, emportant dans son lit nos craintes et nos espoirs.
Seule capitaine de son navire, elle ne laisse personne la dompter ni lui dicter son chemin.
Face à elle, nous ne sommes rien.
Sans elle, nous ne sommes rien.
ça ressemble à un poème, c’est très joli Dame Tartine !
Au dehors, la pluie tombait drue, et Lucie se lassait d’entendre chaque goutte s’éclater avec fracas sur ses fenêtres. Pourtant, ce qui se passait à l’extérieur était plutôt comique ! Tout le monde courait pour trouver un abris sec, certaines personnes glissant de temps en temps sur des flaques, d’autres s’étalait parterre à cause d’un trou sur le bitume remplis d’eau. Après une forte bourrasque, les parapluies s’envolaient, se retourner violement, laissant leur propriétaire sous des torrents d’eau froide. Deux amoureux avaient, semblait-il, voulut imiter le cliché cinématographique du baiser sous les trombes d’eau s’abattant sur la ville. Une ville où visiblement, l’eau mettait en scène chaque moment de la vie.
Merci Lali, mais je n’ai pas bien compris ta dernière phrase, que voulais-tu dire?
Dans cette phrase, je veux dire que l’eau ( la pluie ) est la cause de chaque actions.
Oui c’est plutôt étrange dis comme ça ! 😉
Jeux de m’Eau (mots)
Eau si tôt (aussitôt) sortie de sa source, Eau, tarie (otarie) dans son lit
Eau si (occis) pure dans la force de l’âge.
Eau de vie (eau-de-vie), Eau, culte (occulte) de l’éternel recommencement
Eau d’ici (ode) et Eau de là (au-delà)
Eau, vin (ovin) naturel de la Terre, tu offres tes bienfaits.
Eau sers (Auxerre) nous de messager
Eau râle (oral) au pied du torrent, Eau, temps (autant) que passeront les heures.
Eau, berge (auberge) indestructible de la pensée
Eau, près (auprès) de toi je veux reposer.
Eau pressante (oppressante) et Eau posée (opposée), Eau mère (Homère) de l’Humanité
Tu gardes en ton sein la source de toute vie.
Une idée géniale ! Bravo ! Cette façon de traiter le sujet me plait beaucoup !
J’ADORE ! Vraiment un grand bravo !!
De tous les éléments, l’eau est mon préféré. Elle a cet incroyable pouvoir d’adoucir, de calmer et d’apaiser. Elle sèche nos larmes en les noyant parmi d’autres gouttes. Elle nous détend lorsque l’on imite la bouée avec notre corps et que l’on se laisse bercer au rythme des vagues. Elle nous rend si minuscules une fois plongé dans son monde. Tout devient si calme, si paisible, si effrayant et gigantesque. Notre regard est submergé par la beauté du paysage sous-marin. Le froid et la réserve d’oxygène nous disent de remonter à la surface, mais notre esprit, lui, ne veut que rester au fond pour contempler l’océan et son peuple.
L’eau n’est pas seulement présente dans notre corps, Elle est partout autour de nous. Aussi bien dans le ciel sous forme de pluie que sur la terre avec l’aspect d’énormes flacs recouvrant les deux tiers de notre merveilleuse planète.
L’eau est le symbole de la force, de la puissance. Elle est libre comme l’air et rien ne pourra venir entraver sa course vers le large.
Merci pour ce moment, Jessy !
Il est environ vingt et une heures lorsque Augustin décide de sortir de son appartement du treizième pour se rendre à la petite soirée organisée par Catherine, aux alentours des champs Elysées. Augustin n’a pas un sous en poche, c’est donc pour cela qu’il choisit de s’y rendre à pieds (et ça lui permettra de faire un peu d’exercice). Cependant, notre camarade se remémore subitement , que la résidence de son amie se tient dans le huitième, et que le petit moment convivial où il a été invité débute à dix heures pétantes (ses hôtes sont très ponctuels). Il faut approximativement une heure et demie pour effectuer ce trajet avec ses jambes pour seules moyen de locomotion. La panique le saisit soudain, car il ne pouvait pas se permettre d’arriver en retard ; certaines personnes conviées à cette soirée lui sont inconnues, alors pas question de faire une mauvaise première impression. Pas ce soir en tout cas. Augustin regarde son visage humide dans le miroir ; quelques gouttes de sueur perlent sur son front, d’un coup d’avant-bras énergique, il les fait disparaître. Son front ressemble alors au pare brise d’une voiture durant une averse dont les essuies glaces fonctionnent ridiculement mal. « Que je déteste l’eau ! » ce dit il.
Il saisit sa veste, éteint les lumières de son appartement, attrape ses clefs et sort rapidement.
Second problème : il aperçoit dans le ciel des nuages gris très menaçant, qui risques de déverser sur sa personne une pluie qui peut très bien ruiner tous ces efforts vestimentaires fait à l’occasion pour cette soirée. D’ailleurs, quelques gouttes viennent se déposer sur son blouson marron. « Que je déteste l’eau ! » grogne-t-il.
Pour ne pas arriver en retard, et, à plus forte raison, pour éviter une averse imminente, il décide de courir. Les premières foulées sont effectuées sans trop de difficultés (finalement, le sport au lycée est bénéfique). Mais au bout de trois kilomètres, un point de côté surgit à l’extrémité droite de son ventre. Augustin s’arrête subitement pour reprendre son souffle, et continue à marcher. Il regarde sa montre qui affiche les neuve heures quinze. Encore quarante cinq minutes de souffrance pensa-t-il.
Après un subit élan de courage, il décide de se remettre à recourir, mais à peine ses jambes élancées qu’il trébuche, et tombe la tête la première dans une flaque d’eau (la pluie se faisait de plus en plus importante). Il se relève dignement, regarde à gauche, à droite et derrière lui pour voir s’il n’y a personne (et il n’y a personne), et se permet de crier : « Que je déteste l’eau !!! »
Cependant, rien ne peut arrêter sa course effrénée, il enchaîne les mètres, voit les pavés défilés devant lui, il sait qu’il ne lui reste pas beaucoup à accomplir. Encore un kilomètre pour être précis.
Augustin arrive sur le pont des Invalides, qui franchit la Seine. Cependant, après quarante cinq minutes de course acharnée, l’envie plus que pressante de boire l’assaillit. « Que j’ai besoin d’eau ! » balbutie-t-il
Sa bouche est sèche, et la salive est aussi blanche que la coque d’un bateau aux alentours. Ses lèvres gercées peinent à s’ouvrir.
Il s’arrête, regarde la Seine depuis le pont, et, ni Augustin, ni l’auteur ne sait pourquoi, il décide de sauter dans le fleuve, pour se désaltérer. Mais, est-ce à cause de sa mauvaise vue, du destin, ou tout simplement par le fait qu’il fasse nuit, lors de son saut, son crâne trouve la bordure d’un chemin qui était dissimulé sur le côté de cette étendue d’eau. Le choc est terrible, et notre héro s’éteint.
On ne sera jamais ce qui a poussé Augustin à faire cela, mais une chose est sur : l’eau, soit on l’aime, soit on le l’aime pas. Jamais les deux en même temps.
Sauter dans le fleuve? mais quelle drôle d’idée ! :s
Probablement la déshydratation, qui sait ?
SIX EAUX !
— Ces gens m’ont fait un discours à l’EAU de rose !
— Je n’aurais pas du les écouter,depuis mon entreprise a prit l’EAU §
— Je suis furieux, il faut que je mette de l’EAU dans mon vin !
— Quelques amis vont m’aider ce qui apportera de l’EAU à mon moulin !
— Il ne faudra pas aller à vau-l’EAU? IL FAUDRA R2USSIR?CETTE FOIS §
— Cet espoir me donne l’EAU à la bouche !
Haha ! Déjà trois productions depuis ce matin ! Le thème de l’eau t’inspire Jacandre ! Bravo !
Rebonjour !
— L’eau de Cologne, de parfum, de toilette, de fleurs d’oranger sont toutes des cousines éloignées de, l’eau douce, de pluie, pure, de source, distillée, du robinet !
Bonjour !
Très court ? Dommage !
L’eau aime se mélanger à l’air, elle voyage ainsi en brume, en brouillard, monte dans le ciel, et soudain retombe sur la terre !
L’eau est amie de la terre, elle l’aide à nourrir les plantes, et se cache en elle quelquefois, et soucieuse de l’avenir pour la vie !
L’eau cachée dans sa nappe phréatique réapparait au fond des puits, est aspirée pour le bonheur des hommes !
L’eau est l’ennemie jurée du feu, mais celui-ci se venge en la faisant bouillir, mais elle le détruit à chaque occasion avec ses amis les pompiers !
L’eau voyage dans toute la France et même ailleurs, dans les rivières, puis les fleuves venant de partout même des ruisseaux, des cascades, de sa grande amie, la neige et se jette dans l’immensité de la mer, cette cousine germaine si salée …