— Bonjour.
— Hello, la compagnie ! Houla, tu n’as pas l’air en forme, Magali.
— Pfff, ne m’en parle pas, je dois écrire une scène clé de mon roman et je rame.
— Raconte, peut-être qu’on peut t’aider ?
— Mon personnage principal se retrouve face à son ennemi et j’ai beaucoup de mal à rédiger leur discussion.
— C’est son ennemi et il ne cherche pas à le tuer ?
— Mais non, ce qui m’intéresse, ce n’est pas l’action, ce sont leurs échanges. Je les voudrais à la fois vifs, cinglants, intelligents… Non seulement j’ai du mal à trouver le fond, mais je suis empêtrée avec les incises qui gênent la fluidité.
— Tu nous fais un petit coup de procrastination liée à un manque d’estime de soi ?
— Peut-être…
— Pourtant, tu es capable de le faire, il faut t’accrocher ! Un petit coup de Ma Muse ne te ferait pas de mal non plus !
— Oui, mais elle a fait une indigestion de chocolat et Ma Plume n’est pas vraiment mieux.
— Eh bien, tu peux aller lire des scènes de ce type dans la littérature du même genre que ton roman. Et puis, les scribouillards vont te montrer l’exemple.
— Ah ? Vous feriez ça ?
— Mais oui ! Mes amis, je vous demande d’inspirer Magali en écrivant une scène où VOTRE personnage principal est confronté en direct à son ennemi juré. Vous devrez obligatoirement écrire un dialogue, avec ou sans incises, entrecoupé ou non de narration. Vous apporterez grand soin aux échanges afin de donner du relief à vos personnages (leur personnalité) et à votre intrigue.
— Ce serait vraiment adorable, merci à tous ! Je peux abuser ?
— Vas-y, on n’est plus à ça près !
— Si vous pouviez nous mettre une ou deux lignes avant votre dialogue, pour qu’on sache quelle est l’intrigue en question, ce serait sympa. Comme ça, je pourrai voir ce qui se rapproche ou non de mon roman et on comprendra mieux ce qui se trame entre vos personnages.
— OK, Mag’. Ça va le faire. Allez, au boulot, les écrivains!
— Ne t’inquiète pas, Magali, ils vont réussir, je les connais.
— Oui, j’en suis sûre.
— Fais-moi lire tes essais, je vais essayer de regarder ce qui ne va pas.
— Merci, Gaëlle.
— C’est normal, tu fais toujours pareil pour moi !
Bonsoir !
Deuxième épisode .
Dans la voiture Gérard qui conduit demande à Patrice qui est derrière avec le type Raymond:
— mets lui la cagoule !
Après quelque minutes, nous arrivons dans le garage en sous-sol de la maison prêtée par un ami. Les volets sont clos, nous nous
installons dans une grande pièce au rez de chaussé .
— Attaches lui les poignets ,entraves lui les chevilles ! Comment tu t’appelles ? lui demande Gérard .
— Raymond, pour eux, je suis Ray !
— Tu connais bien ton boss ?
— Oui, c’est une ordure de première !
— Expliques ?
— Et bien, il m’a obligé à faire ce travail, me menaçant ainsi que ma femme et ma petite fille, il me tient, il a des photos de moi,
il y a 4 ans lors du braquage d’une banque, il y a eu un mort, je conduisais, j’avais 19 ans, ils m’ont filmé au volant, ils peuvent
envoyer le film aux flics !
— Tu n’es qu’un voyou !
— Non, pas ça ! J’étais jeune 19 ans, je voudrais tellement sortir de là ! Ce n’est pas bien ce que je fait !
— Bon, nous on veut connaitre et rencontrer ton boss, pour ça, on a besoin de toi ! Il nous faut son nom , l’adresse et plein de
renseignements ! Mais attention, nous, les Corses on ne rigole pas, rien ne peut nous arrêter, On décide, on agit ! dit Gérard .
— Bien-sûr que je vais vous aider, avec plaisir ! Je connais son repaire, d’ailleurs c’est là que je vais m’approvisionner et prendre
les ordres, je suis même sûr qu’il habite à cet endroit, il me reçoit dans son bureau, souvent il est seul, il râle sur mon travail et est menaçant, c’est vraiment le sale type immonde et je voudrais qu’il aille en prison .
— Aller! donnes nous des détails dit Gérard ! Et note bien tout Patrice !
— La villa, je peux vous y conduire, mais n’entre pas qui veut ! C’est, 17 bis rue des Ursulines , moi je peux entrer, j’ai le mot de
passe, je sais qu’il y a une caméra, ce ne sera pas facile, le Renard est méfiant !
— Le Renard ?
— Oui, son nom c’est, Arétina René? René Aretina REN ARE , les 3 premières lettres ! (RENARE SANS D) … Il est terrible ce type
tout le monde en a peur !
— Ils sont combien ? Autour de lui !
— J’en connais cinq, ce sont des fidèles qui sont toujours près de lui, enfin dans la villa ! Et puis 2 autres,comme moi pour écouler
la marchandise ,donc on est trois pour ce job !
— Ils sont armé je suppose ? dit Gérard .
— Oui des révolvers, ils s’entrainent au sous-sol, et il y a un labo en bas, et c’est un des cinq qui travaille au labo pour préparer
les doses de cam !
— Dis donc, tu en sais des choses, c’est surprenant, pour une organisation aussi méfiante d’après tes dires, le Renard a vraiment
confiance en toi ? Remarque Patrice, qui n’avait encore rien dit .
— Pour lui, il est sûr que je ne le trahirais pas, car j’ai l’épée de Damoclès au dessus de la tête, et il me le rappelle souvent, en me
disant: Ta gentille petite femme et ton adorable petite fille Eva, je crois ? ça va,la famille ?
Gérard lui dit d’un ton ferme avec son accent Corse bien appuyé .
— Raymond, tu n’as qu’une solution, car, ou bien tu coopère à 100% et tout ira bien pour toi et ta famille, ou, si tu nous trahi ce sera la catastrophe inévitable pour ta vie !
— Ecoutez, j’ai la haine du Renard , il m’étouffe, je n’en peux plus, si seulement vous pouviez m’en débarrasser pour toujours !
— Raymond, crois-tu qu’ils t’espionnent ? qu’ils savent que l’on t’as kidnappé ? dit Gérard .
— Non je ne suis plus surveillé depuis longtemps, nos relations sont impec ! Vous savez,je me maitrise, ma haine je la cache, je fais tout pour être des leurs, je ne veux pas être fliqué ! Je crois que grâce à vous, je vois le bout du tunnel .
— Tu vas continuer ton boulot comme si de rien n’était, hein ! Attention pas de dérapage, et bouche cousue, même dans la famille ! Notre objectif incontournable, c’est la peau du Renard et la destruction de l’organisation ! Dernière chose,si ça peut te rassurer, nous avons d’énormes moyens, surtout en hommes déterminés et compétents et donc capables de mener à bien ce
que nous entreprenons !
— OK ! je vous obéi ! Dit Raymond libéré de ses liens .
Le soir Gérard dit à son épouse, j’ai bien avancé aujourd’hui, surtout, ne change rien, ne dis rien aux enfants, juste un peu de patience et ne t’inquiètes pas ma chérie !
Il avait chargé Patrice de se procurer les plans du lieu en allant au cadastre et de convoquer un certain nombre d’hommes ,au
moins une dizaine pour » L’opération coup de poing «
Pas mal du tout Jacandre, je trouve juste un peu trop rapide la confiance de Ray en eux. Je ne pense pas non plus que le fait qu’il raconte immédiatement son « erreur » de jeunesse surtout à des flics… soit plausible.
Ah et j’ai oublié ! Bravo pour la mise en forme des dialogues c’est beaucoup mieux et plus lisible ! 😉
Bonjour, Gaëlle !
Je suis désolé déçu et triste , et je ne suis par d’accord avec ton commentaire !
Ray est exploité ,obligé de faire ce job, car pris en otage par son terrible patron « le Renard » qui menace de s’en prendre à sa femme et à sa fille s’il ne lui obéi pas, donc il fait le boulot à contre coeur . Il dit bien, » Ce n’est pas bien ce que je fait » (il est dans la boue,il se noie, il n’en peu plus ) Alors quant il s’aperçoit que Gérard semble être un homme ennemi des trafiquants de drogue, de plus un homme très puissant capable de démolir son « ordure de patron » il n’hésite pas , et il attrape la bouée que lui tends cet homme déterminé » et qui n’est pas un flic »
J’ai relu mon texte, je n’ai peut-être pas été assez clair, et si c’est une fiction, moi, je suis dans le réel et mon aversion extrême pour ces abominables organisations concernées par toutes sortes de drogues est sans faille !
Tu m’as mal comprise Jacandre, je ne dis pas que je ne comprend pas qu’il collabore, au contraire c’est logique, mais vu la peur qu’il a de son boss de dealer pour sa femme et sa fille, il devrait d’abord avoir une phase de doute où il se demande s’il fait bien de collaborer ou non, car si ça foire, il risque de subir de graves conséquences. Pour faire simple, je trouve (et c’est un avis purement personnel) qu’il manque une phase de doute où Ray pose le pour et le contre de risque qu’il va prendre en faisant confiance aux flics 😉
O K ! Juste, je le redis, il n’y a pas de flics. Merci pour ta réponse chère Gaelle
ah mince j’ai interprété, effectivement commando de marine ce n’est pas flics (je suis un boulet ^^). Pardon!
Naturellement, je pourrai continuer l’histoire, mais je pense que ce n’est pas vraiment utile, pourtant l’amour naissant entre Nathalie et Jacques serait certainement des bons moments à lire, mais je suis très occupé avec le nouveau face à face et qui concerne le fléau épouvantable que sont toutes les drogues distribuées, vendues par
des malfrats en priorité à nos enfants !
Bonjour !
Devant mon clavier, j’imagine une petite histoire, une fiction pour un face à face, une improvisation que je vais essayer de faire à la main levée…
— Leur fils de 16 ans semblait préoccupé, son comportement avait soudainement changé, devenu rêveur, il n’était plus le même, et paraissait être ailleurs, de plus, son regard bizarre, ses yeux brillants et fixes intriguaient ses parents ainsi que sa petite soeur Lisa, sa cadette . Aux questions, Pierre répondait que tout allait bien, sa maman Maria lui avait demandé : Dis-moi, mon chéri, si tu as un problème, n’hésites pas, confies toi, je vois bien que quelque chose te tracasse ! Lisa qui à 14 ans , était déjà pleine de bon sens, avait aussi posé des questions à son frère qu’elle adorait, elle avait même pleuré, assise sur ses genoux : Pierre mon frère chéri ! dis-moi ! tu as changé,depuis quelque temps, je t’en supplie, dis-moi ce que tu fais, ce qui se passe ? Il avait essuyé les larmes de Lisa avec son mouchoir et l’avait serré très fort contre lui et lui avait dit : Ma chérie, tu ne
peux pas savoir comme je t’aime, et puis nos parents aussi je les aime !… C’est tout ce qu’il m’a dit, d’un air triste ! dit-elle à ses parents . Alors, la maman dit à sa fille en aparté, tu sais, Je pense qu’il se drogue ! j’ai peur des réactions de ton papa, si ça se
confirme, ça va être terrible, il va agir et rien ne pourra l’arrêter ! » Le papa Gérard fait partie des commandos de marine, une
unité d’élite, son statut est top secret, il doit rester à la disposition de l’unité de combat et doit s’entrainer 10 jours par trimestre
et naturellement doit rester incognito » » Avec ses camarades, ce sont des hommes près à tout pour une mission, mais entre eux
ce sont des mousquetaires, ils sont quatre très amis, habitant les uns près des autres » Pour arrêter immédiatement ce que son
fils Pierre semble faire ,c’est à dire « se droguer » , le papa va agir, accompagné du « mousquetaire » Patrice . Dans une voiture de
location, ils vont stationner devant la sortie du lycée , attendant Pierre afin de vérifier ce qu’il fait avant de rentrer à la maison .
Au bout de quelques minutes, Pierre sort avec un groupe d’étudiants, il discute avec une jeune fille ,elle le prend par le bras et
semble l’attirer pour qu’il la suive! Mais , il lui fait signe pour qu’elle parte sans lui , l’embrasse sur les joues et reste là comme pour attendre quelqu’un . Quelques minutes plus tard, les jeunes sont tous partis, Pierre est seul , regarde vers nous, plusieurs
fois et enfin part en direction d’un square à environ 200 mètres . Gérard dit à Patrice, vas-y, je t’attends ! Un quart d’heure plus
tard, Patrice revient et dit : Ton fils a rencontré un type qu’il avait l’air de connaitre, et ils ont échangé un paquet contre des billets , j’ai attendu, ton fils est parti, le type est resté et semble attendre ! –J’espère qu’il est encore là,dit Gérard, décrit le moi ?
Un type brun, corpulence moyenne, petite moustache, pantalon gris foncé, veste de cuir marron, casquette beige ! Bon j’y vais, prends le volant, avançons un peu lui dit Gérard ! Voilà, tu fais 100 mètres tu rentre dans le square, le type doit être sur
ta gauche à coté d’un banc . Attends, on laisse la voiture là , on se suit à distance, avec le talki je pense que ça ira, il faut qu’on le pique aujourd’hui ! J’espère qu’il ne t’a pas vu toute à l’heure ? Non j’étais derrière un arbre et ensuite je suis passé sans le regarder, il faut se méfier ces sales types se méfient , il faut être aussi malin qu’eux !
Gérard a attendu un long moment, le type a eu plusieurs clients, avant de commencer à partir, dans le square, juste une dame qui promenait son caniche et Patrice qui était planqué quelque part . Gérard à rattrapé le type et lui mettant la main sur l’épaule
lui dit d’un air menaçant : Si tu cris je te plante, si t’es raisonnable il ne t’arrivera rien ! Avance, j’ai quelques questions à te poser !
Tous les trois, nous nous sommes retrouvé dans la voiture direction un endroit isolé … Le type va passer un moment très difficile !
J’ai besoin de réfléchir pour continuer le récit « qui me prends la tête » A bientôt !
Bonjour Jacandre, c’est une bonne mise en ambiance que tu nous as fait là, mais tu nous laisses juste avant le face à face, c’est cruel ^^
Une remarque à la suite de celles faites par Magali, le tiret que tu as mis au début de ton texte sont ceux à utiliser pour les dialogues, par exemple :
— Pierre mon frère chéri ! dis-moi ! tu as changé,depuis quelque temps, je t’en supplie, dis-moi ce que tu fais, ce qui se passe ?
Il avait essuyé les larmes de Lisa avec son mouchoir et l’avait serré très fort contre lui et lui avait dit :
— Ma chérie, tu ne peux pas savoir comme je t’aime, et puis nos parents aussi je les aime !…
Bonjour Gaëlle !
Je vais suivre tes conseils, en effet, je fais n’importe quoi « comme on dit » . Je ne suis pas cruel, ce n’était que le premier
épisode, je crois qu’il y en aura trois, car l’affaire est compliquée ! Merci pour tes remarques !
Au fait, dis à Magali que suite à son commentaire, j’ai écris une suite en date du 26 avril et j’aimerai avec son avis ! merci d’avance à bientôt
Bonjour !
Jacques et Gérard, amis et célibataires, passent une agréable soiré au restaurant dancing « L’ Aphrodite « . Attablés à la galerie
avec vue sur la piste de danse et sur les gens attablés en face,en contrebas au bord de la surface réservée à la danse .
Jacques : Gérard ! tu vois juste en face, les deux jeunes filles et les garçons ?
Gérard : Oui ! ils n’ont pas l’air d’être d’accord, et les deux types ont l’air de vouloir s’installer à leur table !
Jac : Les filles leur font signe de les laisser tranquille, elles discutent entre elles leur montrant ainsi qu’elles les ignorent !
L’orchestre se remet à jouer, c’est un slow, « laisse moi t’aimer » de Mike Brant , c’est alors que l’homme qui semblait le plus
déterminé, prend la main de la jeune fille ,la tire vers lui pour l’obliger à se lever, à regret semble-t-il, elle le suit et rejoignent
les danseurs. A la table, l’autre jeune fille, qui est une jolie Asiatique , discute avec le type qui semble lui demander d’être sa
cavalière, mais celle-ci lui dit non fermement !Elle a bien raison, ce garçon à un mauvais genre, mal fagoté ,faisant de grands gestes d’une main, l’autre dans la poche, et surtout coiffé d’un chapeau ! Avant la fin du slow, la jeune fille revient à sa table
suivie du jeune homme qui semble ne pas aimer ce contretemps !
Jac : Gérard, cette fille me plait vraiment, elle est en mauvaise compagnie, je suis sûr qu’elle est en difficulté, il faut l’aider, je ne
peux pas rester ici, les gars sont louches !
Gér : Attention Jacques, je pense que ce sont des manouches, ils se déplacent à plusieurs et ont l’esprit bagarreur !
Jac : Oui peut-être, mais je vois bien que ma princesse est apeurée ! Il faut la délivrer… J’y vais !
Gér : Bon,je surveille et j’arrive si tu as un problème !!!
Jac : Ok ! à tout à l’heure, ne t’en fait pas, j’en ai vus d’autres !
Je descend les quelques marches ,arrive au bord de la piste qui est déserte puisque l’orchestre ne joue pas … Je regarde ce qui
se passe de l’autre coté, tout en réfléchissant, et bien décidé à agir! Surtout qu’à 10 mètres ,la demoiselle en colère repousse la main que cet imbécile avait posé sur son épaule… Je met le pied sur le parquet de la piste pour traverser, tout en fixant la scène
c’est à ce moment là , qu’elle regarde dans ma direction, nos regards se croisent, elle se lève brusquement, bouscule l’homme
et d’un pas rapide se dirige vers moi tout en me faisant un joli sourire, je fais quelques pas en souriant et en écartant les bras pour l’accueillir,,, nous nous rencontrons au milieu de la piste, elle se jette dans mes bras, je la reçoit surpris par la violence de
ce choc,mais ravi de la tenir dans mes bras ! Elle me dit dans un souffle : Je suis votre soeur Nathalie,,, Nathalie, m’embrasse rapidement sur les deux joues, et je fais de même ! mon amie est Liou me dit-elle , ces hommes nous poursuivent ,aider nous !
Je suis votre, enfin ton frère et je viens vous chercher, toi et Liou ! (surpris moi même ) par la rapidité de ma réponse ! Je suis ton frère Jacques, viens petite soeur et je lui prend la main ! sourire aux lèvres, main dans la main, on avance vers les attablés
qui nous regarde, et la musique reprend un tango « la comparcita ». Je me précipite vers Liou,surprise, elle se lève d’un bond, je l’entoure de mes bras, l’embrasse, lui dit à l’oreille, chut ! Je suis le frère de Nathalie, je viens vous chercher, laisser vous aller, c’est pour vous débarrasser de ces types là ! La musique et le bruit alentour me permettais de lui parler sans attirer l’attention .
Me tournant vers Nathalie,je dis assez fort : « Et bien petite soeur,maman et papa vont être contents, je vous ai retrouvé c’est le
principal … Tu sais, on devait arriver demain pour déjeuner, mais,il nous restait que 150 kilomètres,alors, papa a dit ,on va leur faire la surprise, en arrivant pour diner,et maman a dit : Oui mais on n’arrivera que vers 22 heures ! Déçus de ne pas vous voir,
maman m’a chargé de te retrouver, j’ai fait une boite avant d’arriver ici et enfin te retrouver accompagnée de Liou ! Ah je suis
content ! Bon ,les parents avant tout,on y va ! Oh, excusez moi, présentes moi ! »
Nathalie : Max, une connaissance, me montrant son « cavalir ! L’autre monsieur,je ne connais pas !
Jacques : Enchanté,Max, toutes mes excuses ,je vais vous prendre votre , cavalière !
Max : Oui, bonsoir, mais en tant que grand frère, vous pourriez demander à Nathalie de s’excuser pour m’avoir planté avant
la fin du slow, il faut qu’elle s’excuse !
Nathalie : Et bien, monsieur Max, je m’excuse ! ça va comme ça ?
Max : Monsieur ??? Tiens, c’est nouveau, dit à ton frère, Nathalie chérie, dit lui qu’on est ensemble !!!
Nathalie : Monsieur Max, vous êtes un horrible menteur ! Ce n’est pas vrai, on n’a jamais été ensemble, vous êtes un ignoble
personnage, ce n’est pas digne d’un homme de dire des mensonges avec des sujets comme ça !!!
Max : On a quand même bien fait beaucoup de choses,on a été assez loin ,si j’avais voulu ! mais ton désir était trop fort, alors
La suite prochainement
Bonjour !
Faire court, je n’y arrive pas vraiment, je dois être trop bavard !
– Après avoir déclamé toute une tirade rapide et inattendue, mais inventée, devant l’assistance intéressée, Jacques pense avoir réussit à convaincre qu’il était le frère de Nathalie, et donc sa petite soeur qu’il venait chercher … Il lui demanda de lui
présenter les deux hommes . — Et bien, mon frère Jacques dit-elle, se tournant vers le garçon ! Et, je te présente Max, une
vague connaissance ! — Quant à ce monsieur,me montrant l’autre personne, je ne le connais pas du tout ! — Bonjour monsieur Max, dit Jacques en le fixant du regard, avec un petit signe de tête , puis se tournant vers l’autre , lui dit sans
ambages –Ah! vous avez un certain culot monsieur, en essayant de vous insérer à cette table sans y être invité !
— Insérer
— Insérer ? C’est quoi ça ? … Vous savez, ici les gonzesses on en a envie, alors on « chasse » la femelle , on est venu pour ça ! lui répond le garçon malotru ! — Vos paroles ne sont pas adéquates ! vous êtes irrespectueux envers les dames ! Je
pense que vous avez rien à faire ici ! Max, s’avance vers Jacques , le regarde et lui dit : Votre soeur vous raconte des histoires, je ne suis pas une » vague connaissance », comme elle dit, elle n’ose pas vous l’avouer, mais je suis son petit ami ! Ah ! bon lui répond Jacques tout en regardant Nathalie,qui près de Liou fait non de la tête . Et puis, poursuit Max
en tant que frère vous devriez lui dire de s’excuser de m’avoir planter au milieu du slow ,ce n’est pas convenable,elle
doit s’excuser comme ,,, Nathalie d’un air courroucé, lui coupe la parole en avançant vers lui — Monsieur Max, vous êtes un fieffé menteur, je ne suis pas votre petite amie ! Vous êtes un ignoble personnage ! Et, je le dis fermement ici ,
JE NE VEUX PLUS VOUS VOIR, JAMAIS !!! Oh ! Nathalie chérie lui répond Max, on a flirté , on a fait plein de choses , ce qui me fait dire , je suis ton homme ,tu es ma femme ! Alors, Nathalie hors d’elle : Mais ce n’est pas possible, je rêve
cet individu est dément tout ceci est faut et s’agrippant au bras de Jacques,criant presque en regardant Max d’un air
accusateur — Je connais vos activités, ce n’est pas glorieux, ça a un nom, c’est dégoûtant, c’est le mot ,l’argent que vous avez est sale , oui j’ai appris ça la semaine dernière (Heureusement ,la musique couvrait en partie ces paroles
dites avec fureur ) Stop ! Stop dit Jacques avec autorité !!! Et s’avançant sur Max jusqu’à le toucher ( Ils ont à peu près
la même corpulence ) d’un air menaçant lui dit — Vous voyez la demoiselle,là ! C’est ma soeur, MA petite soeur chérie !
Alors,monsieur, ce qui se passe ici avec vous, et vous la mettez en cause et bien, ce n’est pas possible !!! Alors,soyons
raisonnables en hommes responsables, mettons un terme définitif à cette histoire ! Et regardant Max dans les yeux
approchant son visage du sien lui donne l’ordre de partir ,lui annonçant, ne m’obligez pas à mettre le turbot,,il faut que vous partiez de suite , je veux protéger ma soeur,vous comprenez ça ? Max regardait Jacques d’un air de défit,
humilié qu’il était, mais il voyait bien que Jacques était déterminé, Après un long moment, deux minutes au moins de
lutte virtuelles ,soudain, Max recula et se retourna pour partir, Jacques lui dit – Attendez ! et venant le rejoindre , je
voudrais vous dire quelque chose d’important, — Imaginez que vous ayez une soeur et que quelqu’un lui manque de
respect, que seriez vous capable de faire pour l’aider ? Je pense que vous auriez agit comme moi avec vous ! Alors
quittons nous sans haine, effaçons ensemble ce conflit complétement absurde !!! Max fit un léger sourire et tapant
de la main le bras de Jacques lui dit – C’est ok ,et aussitôt,tourna les talons !
Jacques pensait en agissant ainsi avoir désamorcé la colère de Max , car ce n’était pas agréable de parlementer avec
cet homme , ce proxénète qu’il haïssait ! Il aperçu Gérard qui venait dans leur direction. Nathalie était avec Liou, elles
pleuraient toutes les deux !
Naturellement, je pourrai continuer l’histoire, mais je pense que ce n’est pas vraiment utile, pourtant l’amour naissant entre Nathalie et Jacques serait certainement des bons moments à lire, mais je suis très occupé avec le nouveau face à face et qui concerne le fléau épouvantable que sont toutes les drogues distribuées, vendues par
des malfrats en priorité à nos enfants !
Bonjour Jacandre ! ça me fait plaisir de te lire. Note que, pour un dialogue, tu ne peux pas te permettre de mettre les noms des personnes devant, sauf si c’est une pièce de théâtre. C’est d’ailleurs une grande difficulté du roman, tu dois utiliser des tirets de dialogue et utiliser des incises ou faire comprendre qui parle et à qui au travers de ce que le personnage dit ou répond. Essaye de recommencer l’exercice en écrivant un dialogue plus court, juste entre Max, Jacques et Nathalie. On doit bien sentir la tension entre les personnages. Courage, je sais que tu peux le faire.
Bonjour Magali !
Merci , je vais suivre tes conseils , j’en ai besoin , je suis un débutant . J’apprécie beaucoup ton commentaire !
A bientôt
Hello ! Alors voilà un passage tiré des « ailes de Wadi Rum ». Cassandra, une archéologue accompagnée de Manakel et Gabriel, se retrouve face à son ex, Franck, qui s’est associé au déchu Azazel. Bon, y’a quand même de l’action. Le face à face est plutôt frais…
Alors que le trio de combattants s’affrontait, Franck s’était rapproché de Cassandra.
― Cassie ! Ma petite Cassie !
Dos à la table, elle le regardait avancer, prête à en découdre. Elle continuait cependant à jeter de temps à autre un regard sur les anges. Pourvu qu’Azazel n’ait pas le dessus. Cependant, il semblait à la jeune femme que c’était un monstre d’invincibilité.
Elle se focalisa de nouveau sur Franck. Elle l’imita, un sourire mauvais aux lèvres.
― Franck ! Mon petit Franck !
― Très drôle, ma chérie. Enfin, nous voici au bout de la route. D’un côté, toi et tes minables compagnons d’infortune. De l’autre, Azazel et moi, puissants et victorieux. Avec lui, je serai le maître, Cassie, je serai le plus fort, le prince de ce monde !
Elle le regardait s’envoler verbalement et ne put s’empêcher de pouffer.
― Mon pauvre Franck, tu es, tu es… Tu n’es que ce que lui, Azazel décide que tu sois ! Et je ne vois qu’un esclave à sa botte, pathétique et pitoyable !
La haine qui jaillissait du regard de Franck était presque palpable.
― Pauvre conne ! Je vais t’arracher les yeux et les donner à bouffer aux corbeaux !
Il s’élança vers Cassandra. Au moment où il allait l’atteindre, elle sauta avec souplesse sur la table, se saisit d’une des gemmes et fit un roulé-boulé pour retomber de l’autre côté de l’autel de calcaire.
Il bondit à son tour, traversa la concrétion pour sauter sur la jeune femme qui esquiva prestement. Franck se vautra lamentablement à plat ventre dans la poussière. Il n’eut pas le temps de se relever. Cassandra lui tomba sur le dos, le chevaucha comme une cavalière émérite, serrant ses cuisses assez fort pour briser les côtes de Franck. Elle lui écrasa la tête au sol de la main gauche. La droite, levée haut, tenait une gemme blanche.
― Je t’ai déjà dit que tout était fini entre nous !
Elle l’abattit de toutes ses forces sur le crâne de son ex.
C’est quand même très dans l’action effectivement ! ^^ Elle n’y va pas de main morte ! ahahah ! Ok, je sors… Bon, sinon tes dialogues sont super, bravo !
Le roman n’est pas du tout en cours d’écriture, c’est encore à l’état de projet pour celui-ci. Mais j’ai déjà une partie de l’intrigue et un bout colle parfaitement avec le jeu d’aujourd’hui. Alors, cela se passe en France, de nos jours mais du côté magique caché de notre pays, comme Harry Potter. Le système en place est une monarchie parlementaire et l’action se déroulerait dans l’Académie de magie de ce monde (Poudlard français en sommes). Les personnages sont Armand de Guise, prétendant de la princesse (Clélia) et Marjorie de Montpensier, fille du Duc de Montpensier. Leur deux familles ducales sont les deux plus grandes du Royaume et sont rivales depuis l’avènement de la Monarchie sorcière. J’espère que je ne vous ai pas perdu avec ce petit résumé assez long.
——————————————-
Armand fixait Marjorie qui lui faisait dos préférant le paysage de la fenêtre à la vision de son invité. Le garçon n’avait jamais aimé les appartements des Montpensier à l’Académie et il avait toujours fait en sorte de les éviter un maximum. Mais il ne pouvait pas se permettre d’ignorer un billet officiel de rendez-vous sur le prétexte que cette fille s’acharnait à ruiner son couple avec Clélia.
– Mademoiselle de Montpensier, si vous ne souhaitez plus cette entrevue je peux me retirer au lieu de continuer à vous indisposer ainsi. J’ai, de mon côté, des affaires qui nécessite du temps et qui ne peuvent guère attendre éternellement…
– Pardonnez-moi, Monsieur de Guise, je réfléchissais à mes propres affaires et j’en ai oubliée votre présence qui ne peut m’indisposer tellement elle peut être discrète quand vous êtes dans une pièce. Mais si j’ai exigé votre présence ce soir c’est pour une raison de la plus haute importance qui ne peut attendre la résolution de vos petites affaires.
– Et quelle est donc cette raison si importante qui vous pousse à demandez ma présence en ces lieux et nécessite le report des projets de la famille fondatrice de notre communauté ?
– La proximité de notre princesse, Clélia et de cet autre prétendant, le ridicule comte de Tervoix. Ce garçon déshonore la fonction de prétendant et nos deux grandes familles ne peuvent…
– Pardonnez mon rire, Mademoiselle de Montpensier. Mais rassurez-moi, vous n’êtes pas vraiment en train de me demander mon aide pour débarrasser votre cousin de la gêne que le comte lui procure ?
– Je ne vous demande pas votre aide, Monsieur de Guise. Je vous propose de nous débarrasser ensemble d’un ennemi commun car il me semble évident qu’il vous nuira à vous aussi par la suite.
– Je ne vois pas comment un simple comte orgueilleux et arriviste pourrait me nuire à ce point. La princesse et moi avons de sentiments réciproques et cette compétition n’est là que pour le protocole…
– C’est le cas sauf si vous commettez une faute qui vous discréditera aux yeux du conseil, or ce misérable a déjà prouvé qu’il savait révélait des secrets bien gardées. Pensez-vous vraiment qu’il ne pourra pas vous piéger pour obtenir le trône et vous ravir celle que vous dites aimer…
– J’aime Clélia et tes doutes n’ont aucune importance ! Quant à ce comte, si j’accepte cette alliance pour le discréditer et le renvoyer de la compétition, je serais le seul gagnant. Alors dis-moi pourquoi tu tiens tant à m’aider.
– L’honneur de ma famille est en jeu, de Guise. Réduire ce comte à néant permettras au mien de regagner leur prestige salie par cet individu immonde… Maintenant, sommes-nous alliés ?
– Nous le sommes jusqu’à la fin de notre ennemi commun. Car je n’oublierais jamais ce que ma famille doit à la tienne.
– La mienne ne l’oubliera jamais non plus, de Guise.
Armand sortit de la pièce sans un regard pour Marjorie qui le fusillait de la fenêtre. Ces poings ne se desserrèrent réellement qu’une fois ses appartements atteints. Les prochains jours allaient être éprouvants mais il avait confiance en l’amour qu’il l’unissait à Clélia pour réussir cet entreprise avec l’aide des fourbes qu’étaient les Montpensier.
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Je ne sais pas si ça répond vraiment à la consigne finalement mais dans tous les cas voilà ma participation.
Merci, c’est bien agréable de découvrir un univers !
BON , après avoir presque terminé mon texte ,ça a disparu, impossible à récupérer donc manque de temps et de courage ,j’abandonne momentanément et je vous souhaite une bonne fin de ce beau dimanche ensoleillé
A charge de revanche Jacandre ! 😉
Bonjour tout le monde !
Jacques et Gérard, deux amis, vont intervenir et empêcher Max,un dangereux proxénète de prendre dans ses filets deux jeunes
filles Nathalie et Liou …
Jacques et Gérard, deux amis de longue date, célibataires, sont attablés au restaurant dancing « l’Aphrodite » . Ils rega