— Coucou, les scribouillards de l’été !
— Coucou aux auteurs infatigables que vous êtes !
— Oui, j’allais le dire. Alors, pour ce MPMM de l’été, on va vous faire bosser un peu, pendant que nous regarderons la scène de notre transat avec cocktail !
— Un peu de repos, ça ne nous fera pas de mal, je vous le dis !
— On reviendra plus en forme que jamais !
— Euh, ne t’avance pas trop quand même, Gaëlle !
— OK, OK, bon alors, on le lance ce cadavre ?
— Dans la fosse ?
[Gaëlle pouffe de rire… La fatigue les emporte…]
— Trêve de plaisanterie ! Lançons le jeu !
— Vous allez écrire un texte à plusieurs, chacun ajoutant sa touche au fur et à mesure que l’histoire s’écrit. Le premier participant devra commencer à compléter la phrase suivante : « Vous reprendrez bien un peu de … » et le suivant continuera la phrase. Le troisième poursuivra la phrase ou en amorcera une autre, et ainsi de suite. Le but est de laisser le participant suivant continuer la phrase et l’histoire. Vous pouvez ajouter un seul mot ou plusieurs, mais pas plus d’une phrase. À chaque fois que vous contribuez au jeu, copiez/coller l’intégralité du texte et ajouter vos mots à la suite, pour que l’on puisse lire l’histoire sans avoir à la recomposer du début.
— C’est compris ? Alors c’est parti ! « Vous reprendrez bien un peu de … »
— Elle n’est pas bien ma phrase ?
— Tu aurais pu te fouler un peu plus…
— Oh, relax’ ! On a dit qu’on était en vacances ! Allez, je te ressers un petit jus ?
— Ce n’est pas de refus !
.– Vous reprendrez bien un peu de thé? a demandé l’affable vieille dame au col de dentelle, espérant ainsi pouvoir poursuivre son oeuvre de charité chrétienne.
– C’est bien gentil n’à vous ma p’tite m’dame mais z’avez pas q’que chose de plus fort ?
L’affable vieille dame ne put se retenir de grimacer pour l’odeur qui accompagnait cette question.
Elle regrettait d’avoir invité cet odieux personnage. On lui avait pourtant assuré qu’il serait un bon parti pour sa petite-fille… Il fallait pourtant qu’elle trouve le moyen de s’en débarrasser et vite; voià qu’il posait déjà ses sales pattes velues sur l’épaule de sa petite, qui, elle, n’avait pas l’air de s’en plaindre.
Elle se leva avec difficultés et se dandinna jusqu’au placard de la cuisine, qu’elle ouvrit en maugréant discrètement. Elle en sortit une poussiéreuse bouteille de Whisky, qu’elle conservait uniquement pour abreuver ses invités. Les yeux clos, elle secoua silencieusement la tête avec désapprobation en entendant Olivia, sa petite fille, pouffer stupidement de rire alors que l’importun lui chuchotait quelque chose à l’oreille.
C’en était trop, voilà qui’il lançait maintenant des regards appuyés en direction de son généreux décolleté.
– Puis-je savoir comment vos chemins se sont croisés ? N’est-ca pas ajourd’hui votre première rencontre? Voilà, Monsieur, quelque chose de plus fort, comme vous me l’avez demandé.
– Merci bien M’dame, V’là qu’on s’comprend mieux maint’nant. Dis-donc Olive, j’commence à bien l’apprécier ta Grand’mère! Une sacrée antiquité ce Whisky, une pure merveille!
Il but son verre d’un trait puis reprit en s’essuyant les lèvres du revers de sa manche couverte de tâches brunes:
– On s’est connu l’aut’ soir, au bal organisé par Madame de F. Olive était sacrément belle, j’voyais plus qu’elle. Depuis on s’quitte plus, pas vrai Olive?
– Eh bien, Monsieur, je suis si peu habituée à savoir ma petite Olivia en compagnie d’un homme de votre envergure. Cela mérite que je remplisse votre verre à nouveau !
Sans attendre une réponse à son offre, elle s’agrippa aux accoudoirs de son fauteuil, se leva et alla vers l’infecte personnage affalé sur son sofa pour reprendre son verre. D’une maladresse bien calculée, elle frôla le verre qui tomba sur le marbre tout près de l’âtre se fracassant en mille morceaux.
Elle se retourna vers Olivia lui demandant d’aller chercher le nécessaire afin de ramasser le dégât.
– Mes yeux font horriblement défaut à la tombée du jour et je deviens parfois bien malgré moi, une véritable maladroite
ndrez bien un peu de thé? a demandé l’affable vieille dame au col de dentelle, espérant ainsi pouvoir poursuivre son oeuvre de charité chrétienne.
– C’est bien gentil n’à vous ma p’tite m’dame mais z’avez pas q’que chose de plus fort ?
L’affable vieille dame ne put se retenir de grimacer pour l’odeur qui accompagnait cette question.
Elle regrettait d’avoir invité cet odieux personnage. On lui avait pourtant assuré qu’il serait un bon parti pour sa petite-fille… Il fallait pourtant qu’elle trouve le moyen de s’en débarrasser et vite; voià qu’il posait déjà ses sales pattes velues sur l’épaule de sa petite, qui, elle, n’avait pas l’air de s’en plaindre.
Elle se leva avec difficultés et se dandinna jusqu’au placard de la cuisine, qu’elle ouvrit en maugréant discrètement. Elle en sortit une poussiéreuse bouteille de Whisky, qu’elle conservait uniquement pour abreuver ses invités. Les yeux clos, elle secoua silencieusement la tête avec désapprobation en entendant Olivia, sa petite fille, pouffer stupidement de rire alors que l’importun lui chuchotait quelque chose à l’oreille.
C’en était trop, voilà qui’il lançait maintenant des regards appuyés en direction de son généreux décolleté.
– Puis-je savoir comment vos chemins se sont croisés ? N’est-ca pas ajourd’hui votre première rencontre? Voilà, Monsieur, quelque chose de plus fort, comme vous me l’avez demandé.
– Merci bien M’dame, V’là qu’on s’comprend mieux maint’nant. Dis-donc Olive, j’commence à bien l’apprécier ta Grand’mère! Une sacrée antiquité ce Whisky, une pure merveille!
Il but son verre d’un trait puis reprit en s’essuyant les lèvres du revers de sa manche couverte de tâches brunes:
– On s’est connu l’aut’ soir, au bal organisé par Madame de F. Olive était sacrément belle, j’voyais plus qu’elle. Depuis on s’quitte plus, pas vrai Olive?
– Eh bien, Monsieur, je suis si peu habituée à savoir ma petite Olivia en compagnie d’un homme de votre envergure. Cela mérite que je remplisse votre verre à nouveau !
Sans attendre une réponse à son offre, elle s’agrippa aux accoudoirs de son fauteuil, se leva et alla vers l’infecte personnage affalé sur son sofa pour reprendre son verre. D’une maladresse bien calculée, elle frôla le verre qui tomba sur le marbre tout près de l’âtre se fracassant en mille morceaux.
Elle se retourna vers Olivia et lui demanda d’aller chercher le nécessaire afin de ramasser le dégât.
– Mes yeux font horriblement défaut à la tombée du jour et je deviens parfois bien malgré moi, une véritable maladroite.
Souriant à son ignoble invité, elle serra vivement ses mâchoires en rageant de le voir maintenant dans son salon alors qu’il avait dérobé pendant tant d’années la cave à vin de son voisin.
Madame se dirigea vers la cuisine et tournant le dos à ses invités prit la lingette souillée et détrempée au fond de l’évier, la tordit soigneusement au-dessus du nouveau verre de cristal taillé qui allait être rempli de nouveau avec ce fameux whisky.
Ce torchon qui avait bien servi à éponger le liquide visqueux qui s’écoulait des entrailles du poisson évidé quelques heures plutôt.
– Vous reprendrez bien un peu de thé? a demandé l’affable vieille dame au col de dentelle, espérant ainsi pouvoir poursuivre son oeuvre de charité chrétienne.
– C’est bien gentil n’à vous ma p’tite m’dame mais z’avez pas q’que chose de plus fort ?
L’affable vieille dame ne put se retenir de grimacer pour l’odeur qui accompagnait cette question.
Elle regrettait d’avoir invité cet odieux personnage. On lui avait pourtant assuré qu’il serait un bon parti pour sa petite-fille… Il fallait pourtant qu’elle trouve le moyen de s’en débarrasser et vite; voià qu’il posait déjà ses sales pattes velues sur l’épaule de sa petite, qui, elle, n’avait pas l’air de s’en plaindre.
Elle se leva avec difficultés et se dandinna jusqu’au placard de la cuisine, qu’elle ouvrit en maugréant discrètement. Elle en sortit une poussiéreuse bouteille de Whisky, qu’elle conservait uniquement pour abreuver ses invités. Les yeux clos, elle secoua silencieusement la tête avec désapprobation en entendant Olivia, sa petite fille, pouffer stupidement de rire alors que l’importun lui chuchotait quelque chose à l’oreille.
C’en était trop, voilà qui’il lançait maintenant des regards appuyés en direction de son généreux décolleté.
– Puis-je savoir comment vos chemins se sont croisés ? N’est-ca pas ajourd’hui votre première rencontre? Voilà, Monsieur, quelque chose de plus fort, comme vous me l’avez demandé.
– Merci bien M’dame, V’là qu’on s’comprend mieux maint’nant. Dis-donc Olive, j’commence à bien l’apprécier ta Grand’mère! Une sacrée antiquité ce Whisky, une pure merveille!
Il but son verre d’un trait puis reprit en s’essuyant les lèvres du revers de sa manche couverte de tâches brunes:
– On s’est connu l’aut’ soir, au bal organisé par Madame de F. Olive était sacrément belle, j’voyais plus qu’elle. Depuis on s’quitte plus, pas vrai Olive?
– Eh bien, Monsieur, je suis si peu habituée à savoir ma petite Olivia en compagnie d’un…
– Vous reprendrez bien un peu de thé? a demandé l’affable vieille dame au col de dentelle, espérant ainsi pouvoir poursuivre son oeuvre de charité chrétienne.
– C’est bien gentil n’à vous ma p’tite m’dame mais z’avez pas q’que chose de plus fort ?
L’affable vieille dame ne put se retenir de grimacer pour l’odeur qui accompagnait cette question.
Elle regrettait d’avoir invité cet odieux personnage. On lui avait pourtant assuré qu’il serait un bon parti pour sa petite-fille… Il fallait pourtant qu’elle trouve le moyen de s’en débarrasser et vite; voià qu’il posait déjà ses sales pattes velues sur l’épaule de sa petite, qui, elle, n’avait pas l’air de s’en plaindre.
Elle se leva avec difficultés et se dandinna jusqu’au placard de la cuisine, qu’elle ouvrit en maugréant discrètement. Elle en sortit une poussiéreuse bouteille de Whisky, qu’elle conservait uniquement pour abreuver ses invités. Les yeux clos, elle secoua silencieusement la tête avec désapprobation en entendant Olivia, sa petite fille, pouffer stupidement de rire alors que l’importun lui chuchotait quelque chose à l’oreille.
– Vous reprendrez bien un peu de thé? a demandé l’affable vieille dame au col de dentelle, espérant ainsi pouvoir poursuivre son oeuvre de charité chrétienne.
– C’est bien gentil n’à vous ma p’tite m’dame mais z’avez pas q’que chose de plus fort ?
L’affable vieille dame ne put se retenir de grimacer pour l’odeur qui accompagnait cette question.
Elle regrettait d’avoir invité cet odieux personnage. On lui avait pourtant assuré qu’il serait un bon parti pour sa petite-fille… Il fallait pourtant qu’elle trouve le moyen de s’en débarrasser et vite; voià qu’il posait déjà ses sales pattes velues sur l’épaule de sa petite, qui, elle, n’avait pas l’air de s’en plaindre.
– Vous reprendrez bien un peu de thé? a demandé l’affable vieille dame au col de dentelle, espérant ainsi pouvoir poursuivre son oeuvre de charité chrétienne.
– C’est bien gentil n’à vous ma p’tite m’dame mais z’avez pas q’que chose de plus fort ?
L’affable vieille dame ne put se retenir de grimacer pour l’odeur qui accompagnait cette question.
Elle regrettait d’avoir invité cet odieux personnage. On lui avait pourtant assuré qu’il serait un bon parti pour sa petite-fille… Il fallait pourtant qu’elle trouve le moyen de …
– C’est bien gentil n’à vous ma p’tite m’dame mais z’avez pas q’que chose de plus fort ?
L’affable vieille dame ne put se retenir de grimacer pour l’odeur qui accompagnait cette question.
– Vous reprendrez bien un peu de thé? a demandé l’affable vieille dame au col de dentelle, espérant ainsi pouvoir poursuivre son oeuvre de charité chrétienne.