— Bonjour à tous ! Tiens, mais, Gaëlle ? Toi, ici ? Déjà, maintenant, si prête, si tôt, si… ?
— Hahaha, Magali, arrête d’exagérer, je suis relativement à l’heure ces derniers temps…
— Relativement… Oui, le mot est bien choisi.
— Ralala, tu ne peux pas t’empêcher de me taquiner, tu ne peux pas savoir comme ça m’a manqué !
— Là, c’est toi qui amplifies tout.
— Normal, il est plus que temps d’exercer nos scribouillards.
— Oui, mais à quoi ?
— Eh bien, que fait-on depuis tout à l’heure ?
— Mais, oui, bien sûr, une gradation, puis des hyperboles, tu parles, bien sûr…
— … des figures de style, en effet !
— C’est vrai, la fin de l’année approche, ça peut être très utile à nos futurs bacheliers et à nos écrivains en bouton, mais ça fait un peu beaucoup, non, toutes les figures de style ?
— Et hop, une petite métaphore, tu es vraiment très forte, Magali ! On a qu’à choisir cette figure de style là !
— Une métaphore ? Où ça ?
— Des écrivains en bouton, a priori, les écrivains n’ont rien à voir avec les plantes, pourtant tu les associes pour nous donner l’image de personnes qui deviennent doucement des auteurs de talent !
— Je n’avais même pas remarqué, les métaphores sont assez naturelles, en fait.
— Oui, certaines sont dans le langage courant, mais il y en a de plus subtiles. Du coup, je propose à nos scribouillards de rédiger un petit texte sur le bac ou sur une autre épreuve qu’ils ont, vont, pourraient ou aimeraient passer en introduisant une métaphore sur le stress, l’angoisse ou la pression…
— Yeah, c’est parti, mon kiki !
— Tu es sûre que ça va, Magali ?
— Oui, oui…
— C’était une question rhétorique…
— Ouais, bon, ça va, j’avais compris, hein ?
— C’est ce qu’on dit…
— Non, mais, oh !
— Allez, qui aime bien, châtie bien ! Ne le prends pas mal !
— Bah, là, je t’assure que j’ai trouvé la figure de style que tu as placé !
— Je n’en doute pas, mais nos amis l’ont-ils aussi vue ?
L’Adrienne, on l’imagine, a passé toutes sortes d’examens dans sa vie. Des médicaux et des scolaires, des cliniques et des académiques. Elle a assumé, pris sur elle, géré: le coeur qui cogne, les mains moites, le ventre qui menace de lâcher.
Le pire de tous les examens, celui qui dérègle toute l’anatomie et tous les sens, ce n’était pas à cause des seringues ou de l’éther, des cursus ou des compositions.
C’était l’examen du permis de conduire.
La gorge sèche, la tête qui tourne, le voile noir devant les yeux, les jambes qui tremblent, et voilà que l’Adrienne n’était même plus capable de se rappeler comment il fallait allumer les feux: elle a fait marcher les essuie-glace.
Oh oui, le permis de conduire, que d’angoisse ! Tu as su rendre drôle ce moment de stress, même si sur le moment, ça ne fait pas rire du tout :/
Bon, ben quand faut y aller …!
Le jeu de la métaphore ne semble pas mon fort, et autant la dernière fois, le feu qui m’animait m’a permis d’enflammer mes idées, autant cette fois-ci, l’exercice me semble plus complexe, voire intouchable. Et j’ai beau souffler sur les braises, je n’obtiens jusque là qu’un malheureux pschit…
Heureusement, il n’y a pas de fumée sans feu et mon acharnement à ranimer ma flamme a permis l’apparition d’une lueur infime, me permettant de faire jaillir à nouveau cette passion de l’écriture que nous partageons.
Oui, je sais c’est un peu réchauffé. J’espère toutefois avoir réussi l’exercice. Exercice vécu comme une véritable épreuve du feu !
Et pourtant, vous vous en sortez sans brûlure ! Bravo Dame Tartine ! 😉
Un froissement dans les draps, un être fébrile que se meut dans l’obscurité du petit matin, ainsi commença ma journée. Il était six heures et demi du matin, bien trop tôt pour se lever, mais quelque chose en moi m’avait ouvert les yeux. Cette palpitation anxieuse, un nœud sur mon thorax, la contraction dans ma gorge, c’était ce rappel que fait le corps à l’esprit. Aujourd’hui l’inexorable et redoutable épreuve de philosophie. Mon regard glissait sur les formes effacées du mobilier sans y trouver de prise. Mes pieds nus touchèrent soudain terre, je fis mes premiers pas. Je ne m’apercevais pas de ce que je faisais, tout était automatique. Mes mains tiraient machinalement le volet et ouvraient la fenêtre. La lumière perça, il faisait déjà chaud. Je continuais ce rituel matinal avec ce même détachement. Comme si je flottais au dessus de tout, sans qu’aucune pensée ne vienne. Tout à coup un petit caillou vint frapper la surface calme de l’eau, y propageant son onde. Ce minéral perturbateur n’était autre que mon sujet, ce mot, vivre. A ce moment précis, l’étang de mon esprit bouillit, des bulles claquèrent à sa surface jusqu’à ce que, sous la pression, cette idée, ce geyser, jaillisse. Les gouttes retombèrent en pluie fine, retournant au lac. Mes doigts cessèrent de caresser la papier, laissant mon stylo la gratter. Vivre, c’est naître et mourir. Vivre c’est la condition de l’éphémère. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, cette condition n’est pas une fatalité, c’est une bénédiction. Ainsi chaque matin est compté, chaque matin ressemble aux autres et pourtant… chacun est unique. La vie est un don précieux, vivre c’est profiter de cet instant. Comment ai je vécu ce matin? Ai je profité suffisamment de ce moment déjà passé, qui ne se reproduira plus jamais ? Clairement non, je me suis laissé dépasser par un sentiment négatif de stresse. Même si je manque cette épreuve, même si ce que je dis est faux, je ne regretterais jamais de profiter de la vie, au présent, en dehors de tout trouble.
Bonjour, je m’appelle Ludo, c’est la première fois que je participe à quelque chose de ce genre. A seize ans je ne prétends rien en écrivant ce que j’ai écrit, mais, il me tenait à cœur de ne pas écrire des mots creux. J’ai donc essayé d’y mettre un petit peu de sagesse. Tout critique sera la bienvenue.
Bonjour Ludovic et bienvenue 🙂
Une métaphore entre l’eau et les mots, et j’ai cru voir une première ébauche entre le stress et une bête, mais en fait non 😉
Très bel essai ! Merci.
C’est moi qui vous remercie 🙂 j’aurais une question ou plutôt un problème à vous soumettre, si vous en avez le temps. Ça fait environ trois ans que j’écris, et je recommence sans arrêt… En grande partie, je pense, parce que j’ai du mal à doser entre l’aspect narratif et didactique de mon récit. Souvent je veux trop en dire, et mon récit perd de son punch. J’ai lu vos article sur la menace, les différentes étapes de l’écriture mais n’y aurait il pas une astuce supplémentaire ? Quelque chose qui me permette de faire des liens et une meilleur harmonie entre mon histoire et mon message de réflexion ? Merci d’avance 😉
Bienvenu !
Sympa la métaphore filée !
Pour ce qui est de ta question, ce serais mieux de voir ça avec un exemple à l’appui car là c’est plus un jeu d’écriture qu’un travail laborieux pensé depuis longtemps.
Bonjour Ludovic, je pense que le forum pourrait vous aider, ainsi que la lettre du dimanche d’Eric et Christine. Il y a énormément d' »astuces supplémentaires », il serait bien long de les énumérer… Peut-être poser votre question à Eric directement par mail en réponse à sa lettre ?
Bonsoir tout le monde !
C’est une conversation le matin du jour de l’examen au baccalauréat . La maman Valérie, le papa Antoine, la fille Hortence 16 ans et son frère Augustin 17 ans sont tous les quatre installés à table pour le petit déjeuner . Il est 6 h et demie .
— Alors, Hortence, dit la maman, tu y vas comment ? Avec la fleur au fusil ?
— Oui maman, tout est o k , y a pas le feu au lac, je suis zen de chez zen !
— Et toi, Augustin, tu y va comment ?
— Avec la peur au ventre , d’ailleurs, j’ai pas faim ! J’ai la trouille ! Au fait, ces exam, ça sert à quoi ? C’est débile, on est beaucoup à penser ça !!
— Vas-y avec Goldorak ! dit le papa .
— Oui, sûr, je préfère Goldo à Victor Hugo, le grand ami posthume de ma petit soeur ! Et, croyez moi, si il y avait une épreuve concernant Goldorak, hein ! Alors là , Hortence viendrait manger dans ma main, car là, personne ne peut rivaliser avec moi ,
je défonce tout !!! Ce serait génial ! Au fait, notre prof, au pardon, notre « Apprenant » et bien, l’autre jour, il nous a parlé de
Popeye et de Brutus, vous vous rendez compte ? C’était un sujet sur les épinards ! C’est bon pour la santé je crois …
— Bon, soyez cool, tous les deux, ce n’est pas Waterloo ! Allez-y avec votre envie de bien faire, si vos résultats ne sont pas une
réussite, nous serons là pour vous soutenir, vous êtes nos deux amours ! Avec votre père, on est peut-être aussi stressé que vous ! A ce soir …
— Je me souviens, chérie, j’étais stressé moi aussi, au final, je l’ai eu de justesse, ça ma marqué !
— Moi, c’était en 75, j’étais terrorisée, pourtant j’étais bonne élève, j’ai réussi avec mention bien ! Une journée épouvantable,
un cortège de moments difficiles se présentait à nous, que sa majesté Exam, vraiment détestée nous imposait ! Il y a 40 ans et
c’est ancré dans ma mémoire, par exemple, pour la philo, j’avais éliminé deux sujets, il en restait deux qui ne me plaisait guère,
j’hésitais, j’avais peur de tomber de Charybde en Scylla ! Finalement ça c’est très bien passé …
— C’était en 72, j’avais eu une année difficile, suite à mon accident et, j’ai réussi à sortir de l’ornière profonde dont j’étais tombé
en travaillant d’arrache-pied ! Souhaitons à nos chers petits génies qu’ils réussissent, Ils ont bien travaillé cette année, surtout
Hortence, quoique Augustin en rajoute un peu, on doit lui faire confiance, croisons les doigts !
Bonjour Jacandre, il faut que tu m’aides à trouver ta ou tes métaphores, j’ai du mal à les repérer.
Bonjour Gaëlle !
Alors, là ! « Je reste médusé » et, » je tombe des nues » ! Mais je vais « reprendre mes esprits » en t’aidant à repérer toutes les
métaphores ( camouflées) dans le commentaire.
— Hortence va à l’examen » avec la fleur au fusil »
— elle dit « y a pas le feu au lac »
— Augustin y va « avec la peur au ventre »
— elle viendrait « manger da
— elle viendrait « manger dans ma main » dit-il !
— et, »je défonce tout »
— il y a aussi , » ce n’est pas Waterloo »
— » un cortège de moments »
— » tomber de Charybde en Scylla »
— » sortir de l’ornière »
— « Travaillant d’arrache-pied »
Je me suis peut-être trompé, mais je continue à penser que (ces citations ) sont des métaphores !
Je ne suis pas fière de mon texte, ce n’est pas « le haut du pavé » je ne suis pas « fier à bras » mais la prochaine fois,
sans « monter sur mes grands chevaux » je prendrai « le taureau par les cornes » afin de répondre » aux plumes et
aux muses » pour « qu’elles soient aux anges » « au septième ciel » ! Et dame Gaëlle « qui a plus d’un tour dans son sac »
heureusement, d’ailleurs, aura toujours beaucoup de plaisir à lire les textes de ses scribouillards !
Oui pardon Jacandre en effet, je cherchais une métaphore filée, mais ce n’est pas ce qu’on a demandé, je deviens trop exigeante à force que vous releviez chaque défi haut la main !
Je tourne frénétiquement en rond devant la salle des tortures. Mes amies essaient de me rassurer avec des phrases plus débiles les unes des autres, du genre « Mais ça va aller, tu vas éblouir le prof! ». Facile à dire, elles sont bien douées en maths, elles! Essayant de ne pas trop les écouter, je jette un coup d’œil à l’horloge murale: la grande aiguille se déplace ostensiblement vers le 6. Comment arrêter le Temps?! Je sens un filet de sueur traverser allègrement tout mon dos… Mes amis les neurones carburent en pleine puissance en vérifiant la bonne marche de toutes les connexions des synapses de mon cerveau.
Mais… Boum, un filet blanc tombe comme un rideau après une pièce de théâtre. Mon cerveau est désespérément vide! Tous les éléments difficilement retenus durant les semaines précédentes ont disparu! Je sens une bouffée de panique arriver… Et, tout d’un coup, je me souviens d’un conseil d’une amie très mystique. Faire le vide dans la tête, ça c’est déjà fait! Respirer 10 fois à fond… Imaginer un lieu isolé en pleine nature. Sentir mes pas vers ce lieu, observer le paysage luxuriant autour de moi, humer les différents odeurs qui planent. Je me retrouve devant un charmant petit pergola. Un vieil homme m’attend avec un sourire. En m’approchant, je me rends compte que c’est Einstein en personne! Il met sa main sur mon épaule et me dit que je vais m’en sortir vu que j’ai bien révisé et que je devais avoir confiance en mes capacités. Mais, au pire, si je rate, ce n’est pas si grave vu que je n’aime pas les chiffres. Les lettres vont me sauver, elles!
J’ouvre les yeux en entendant appeler mon nom. L’expert me regarde et désigne la porte. C’est mon tour! Je fais un grand sourire à mes amies, apeurées par mon comportement, et leur dis de ne pas s’inquiéter. Je me dirige vers la salle des Torture d’un pas très assuré.
Bonjour Céline, je n’ai pas trouvé ta métaphore, où l’as-tu caché?
Zut, je n’ai pas bien lu la consigne… 🙁 Mille excuses. Je ferai mieux la prochaine fois!
Il n’y a pas de mal, il ne te reste qu’à réessayer 😉
Il ya quand même la métaphore du rideau…
Coucou, voici ma petite production sur le sport (en général) !
Allez, j’aborde la dernière côte du parcours. Mes stylos, crayons et gommes sont prêtent et la montre vissée au poignet. Le marathon écrit approche et je suis déjà dans les starting blocs, la tête vide. Ensuite, il n’y aura plus qu’une étape avant de franchir la ligne d’arrivée les index et majeurs levés en signe de victoire.
Mes concurrents sont proches et avides. Cette place de vainqueur, ils en rêvent eux aussi. Si ça se trouve, le podium de la remise du diplôme sera à l’image d’un gigantesque banquet avec une seule place pour tous, ou presque car comme toujours il y aura des recalés. Certains ont déjà abandonnés et d’autres vont faiblir je jour J : la tête dans le guidon et les pieds emmêlés dans le dérailleur orthographique. Et puis il y a les coachs avec leurs phrases toutes faites « tu vas y arriver » ou « de toute façon t’est pas plus bête qu’un autre ». Ils se croient supérieurs avec leur air de « moi j’ai réussi alors je te regarde pédaler dans le vide, le cerveau noyé sous les révisions ». Mais je ne m’échouerais pas, ni ne me laisserai surprendre par la montée des eaux. La méthode est imparable : lire, écrire et réussir ! En matière de rédaction, la brasse vaut mieux que le papillon. A condition de ne pas brasser du vent en regardant les mouches au plafond.
3,2,1, ça y est ! l’adrénaline monte, mais les idées restent claires. Pour aller loin, il faut ménager ses foulées et garder le cap en direction de la victoire.
Bonjour Aurore !
Pour moi tu as réussi ton examen , c’est du sport en effet ! Tu es sur le podium !
Merci Jacandre et Gaëlle !
C’est un super exutoire qui permet de relativiser un peu (en tout cas je le vis comme ça).
Réussi l’examen, je sais pas encore, on verra ça fin juin !
Après si Ma Plume Ma Muse désire délivrer des diplômes….
Bonjour Aurore, Oui bravo, tu as remarquablement relevé le défi !
Bonjour !
Encore, cette fois ci, je vais m’éloigner un peu du sujet .
Par exemple : Diriger une entreprise d’une main de fer, c’est une métaphore . C’est avec un « métalfort » ,acier, fer que la main ici est faite !
A quatorze ans, je souhaitais « poursuivre » mes études au moins jusqu’au baccalauréat, mais mes parents, et surtout mon papa
qui était garagiste et mécanicien automobile, voulait m’apprendre le métier . Après mon brevet élémentaire en poche , j’ai plongé
avec délice dans la mécanique automobile !
C’était en 1944, nous étions heureux d’être libéré du joug allemand, c’était la fête, vraiment des moments inoubliables, la joie après la honte d’avoir été pendant quatre ans envahis, sous la botte des nazis ! Ces heureux évènements n’empêchais pas mon
angoisse de l’approche de l’examen du brevet ! Timide, j’appréhendais l’oral et craignais l’écrit, surtout l’Anglais qui me faisais
peur, j’avais le coeur gros ce jour là ! Enfin, je l’ai eu, je pouvais ainsi abandonner l’école et me plonger à corps perdu dans la
mécanique, accompagné par mon papa professeur ! Je découvrais sous le capot , ce qu’il y avait dans le ventre des Citroën
traction avant « les vedettes » de l’époque et puis prodigieux, incomparable des merveilles, souveraines de ces années bonheur
nos Delahaye, Delage, Hotchkiss, Talbot qui se présentaient accompagnées de jolies dames en robes de chez Paquin Nina Ricci
ou Elsa Schiaparelli grands couturiers de ces années ,mais j’en oublie ! Elles venaient à Enghein,aux tuilleries sur les champs de courses pour se faire admirer et gagner un concours d’élégance ! Et sous leurs capots, un moteur six cylindres superbe ! J’avais
le privilège de vérifier son bon fonctionnement ! A ces concours d’élégance, aux champs de courses, les jolies dames avec leur
coupé ou cabriolet de prestige venaient se mesurer avec leurs chevaux vapeur aux purs-sang magnifiques aussi !
Bonjour Jacandre ! Oui, tu t’éloignes un peu du sujet, mais ce n’est pas grave ! Essaye de reprendre la partie sur le brevet et de l’étoffer avec une métaphore sur la mécanique. Comme « les rouages se mettaient en place, je voyais la fuite, oui c’était ça, je trouvais la solution de mon problème… » par exemple 🙂
Bonsoir Gaëlle ,
Oui, j’ai tendance à sortir du chemin tracé, heureusement, tu es là pour essayer de me remettre sur les rails ! Merci, pour tes
conseils !
Bonjour bonjour. Je suis Number one, mais je viens me faire corriger par ma Muse et ma Plume Je participe à un concours.
« Ce mouvement a été l’occasion pour certaines jeunes filles comme moi-même, d’exister en tant que leaders. Hamdulilah !
Nous ne nous réunissons pas très souvent, pourtant nous devrions le faire. Il est important de ne pas laisser retomber le soufflé. (Nicolas, tu vas trouver improbable que je connaisse cette expression, non ? Françoise m’en a cuisiné un à Paris et m’a expliqué la métaphore.) »
Ma question est métaphore ou cliché l’histoire du soufflé ? Merci par avance,
Une fidèle admiratrice.
Bonjour Dominique, je n’ai pas bien compris. De quel concours s’agissait-il?
Mais où ais-je la tête c’est un concours d’écriture. Bien sûr. Voilà pourquoi je n’ai jamais eu mon bac, trop tête en l’air. Peut mieux faire ! Bien vu Gaëlle.