Aujourd’hui, c’est avec plaisir que je vous présente un article d’Eric Galland. Vous en découvrirez plus, sous peu, sur ce fameux personnage aux multiples talents. En attendant, je vous suggère de parcourir son article sur une question très fréquente dans l’écriture d’un roman : combien de chapitres pour son roman ?
Julien a entrepris d’écrire un roman fantastique. Il s’est lancé courageusement, avec plein d’idées en tête, avec de la télépathie et de la magie. Mais très vite il s’angoisse : il ne sait pas quand il doit finir son chapitre. Son premier fait une quinzaine de pages… Au bout de dix pages du deuxième, il commence à peiner. Il ne manque pas d’idée pour la suite, mais il se sent obligé de le remplir pour qu’il fasse la même taille. Et inversement, au cinquième, la fin du chapitre arrive bien vite alors qu’il aimerait le continuer…
Il ambitionne de faire lire son livre à beaucoup de monde, voire de se faire publier. Ce qui lui manque, c’est un moyen infaillible pour donner la taille idéale aux chapitres, pour écrire une histoire rythmée et dense, qui garde le lecteur en haleine.
Cet article va vous montrer comment bien découper les chapitres.
Le chapitre est un découpage de présentation
On ne lit pas un livre comme on regarde un film de cinéma. Le roman peut être très long (plusieurs centaines de pages) et le lecteur peut le fermer pour le reprendre plus tard.
Les chapitres sont moins importants que dans les livres intellectuels ou les livres pratiques : quand on ouvre une thèse, un livre juridique ou un manuel d’utilisation, les chapitres permettent de retrouver rapidement l’information qu’on cherche. Le roman, lui, doit être pris du début – à moins qu’un résumé de ce qui précède soit fourni à chaque chapitre.
Les chapitres scandent le roman et sont autant de portes pour entrer et sortir. Le lecteur a donc besoin à la fois d’une petite fin pour pouvoir fermer le livre, et d’un « petit goût de revenez-y » pour le reprendre. L’auteur propose ainsi un rythme de lecture.
Quand on découpe quelque chose, il faut avoir une idée de la quantité à diviser. Les professionnels du cinéma ont une très bonne expérience dans le domaine.
Le nombre d’or des scénaristes
Les scénaristes et les producteurs de cinéma le savent bien : il faut un certain nombre de scènes pour écrire une histoire complète, pour faire un long métrage. C’est un peu le « Nombre d’Or » des auteurs.
Il ne s’agit pas seulement d’une « recette », ni d’un nombre arbitraire. Ce Nombre d’Or est directement tiré du processus du récit. Il a été confirmé par les décennies de pratique et les milliers de films qui sortent chaque année.
Ce Nombre d’Or des scénaristes, qui représente un minimum de scènes nécessaires pour raconter une histoire, est légèrement supérieur à 50.
Bien sûr, un film peut contenir plusieurs histoires imbriquées (il aura donc plus de scènes). Et un film ne contient pas nécessairement une histoire complète (c’est le cas des courts métrages).
Le but n’est pas ici de dire comment utiliser ce nombre. Écrire un roman n’a pas les mêmes contraintes qu’un film d’une heure trente. Il n’a pas non plus les mêmes limites qu’une bande dessinée de 46 pages.
Mais il y a bien une certaine quantité objective à fournir, quand on écrit une histoire ; cette quantité est directement tirée du processus même de l’histoire. C’est important de l’avoir en tête pour bien découper son roman : il faut d’abord fournir une certaine matière (l’histoire) avant de la découper (en chapitres).
Chef ! Oui, Chef !
En cuisine, c’est une chose de préparer un plat ; c’en est une autre de le présenter. Construire son roman, c’est mélanger les ingrédients. Découper son roman en chapitres, c’est dresser l’assiette.
Il faut donc distinguer la structure du récit, du découpage qu’on propose au lecteur. Le Nombre d’Or concerne le plan et les scènes ; pas les chapitres ! Comme vous le savez, les chapitres sont les portes d’entrée ouvertes par l’auteur. C’est une sorte de couche supplémentaire à l’histoire.
Ce qui permet déjà de dégager deux conclusions :
— un roman peut avoir autant de chapitres qu’on veut ;
— pour bien découper son roman… il faut d’abord l’avoir écrit en entier !
Mon roman pour un chapon, ou comment donner le rythme
Au premier janvier, ça n’a pas manqué : j’ai dû découper le chapon. Si j’avais laissé faire mon beau-père, on aurait eu une surprise : il aurait probablement fait des tranches égales, comme pour un rôti… Au contraire, quand on découpe une volaille, on détache les ailes, les pattes… en suivant les articulations. Non seulement c’est plus facile, mais surtout ça présente mieux !
C’est pareil pour votre roman.
S’il est bien constitué, il a des articulations naturelles. À commencer par les scènes, qui en sont les éléments premiers. Mieux vaut en tenir compte pour déterminer ses chapitres !
Après, l’auteur a une grande latitude.
Un chapitre peut contenir plusieurs scènes. Il peut être très court. Très long. Être numéroté, titré, agrémenté d’une citation, d’un résumé, etc. Tant que les grandes articulations du récit sont préservées et que la coupure s’arrête à la fin d’une scène, le lecteur goûtera mieux votre chapitre. Il se sentira plus libre de fermer le livre temporairement.
Vous lui donnerez un rythme de lecture. Ce rythme n’est pas tout à fait le même que celui du plan de l’histoire. Ils peuvent battre en même temps. Mais vous pouvez très bien les décaler pour créer des attentes…
Les étapes pour bien découper vos chapitres :
1. structurez et écrivez votre récit sans penser aux chapitres : faites votre cuisine interne pour que votre histoire se tienne ;
2. dégagez les grands axes et les principales articulations de votre histoire, en notant les moments plus segmentés et indépendants et ceux qui demandent d’être lus d’une traite ;
3. décidez du découpage en chapitre, en vous mettant à la place de votre lecteur : qu’il ait la sensation de finir une vraie partie à la fin du chapitre, et d’en commencer une au début du suivant. Ce qui est rendu possible en coupant aux articulations ;
4. Un chapitre peut contenir plusieurs scènes, mais veillez à bien couper à la fin d’une scène ;
5. numérotez-les, donnez-leur un titre, si le cœur vous en dit. Vous pouvez vous amuser (numéroter dans le sens inverse, faire des titres de chapitres décalés…), mais la sobriété est souvent plus efficace : il faut préserver le sens avant tout !
6. À la fin du chapitre, insérez éventuellement un cliffhanger. C’est-à-dire une petite scène qui relance l’attention, donnant un avant-goût de la suite. Le lecteur qui ferme le livre le gardera plus facilement à portée de main !
Témoignez de votre expérience de lecteur
Et vous : quand vous lisez un roman, faites-vous attention aux chapitres, ou fermez-vous le livre n’importe où ? Préférez-vous quand il y a un titre ? Faites-vous attention à la citation qui l’accompagne parfois ?
Donnez votre avis en laissant un commentaire !
Article et dessins : Eric Galland
Bonjour !
Je viens de commencer un livre (depuis 1 semaine au moins) et j’aimerais savoir (si cela n’a pas encore été poser) combiens de chapitres il faut au minimum ?
Merci d’avance pour votre réponse !
Aurevoir !
Bonjour à tous , j’ai commencé à écrire un roman depuis peu ( 4 jours ) et après presque quinze heures cumulées j’ai commencé à me poser les questions relatives à cet article ( que je trouve très bon et m’a été d’une grande aide . Merci pour vos conseils et la qualité de vos explications ) . Je me suis rendu compte en en parlant avec des proches de formations littéraire que je n’avais aucune idée du nombre de chapitres , de leur longueur ou du découpage que je devais effectuer . J’ai donc entrepris de me faire lire et à mon grand étonnement , après lecture de cet article , il se trouve que j’ai respecté les conseils donnés plus haut sans en avoir eu jamais connaissance . De formation scientifique et n’ayant pas lu depuis mes études , j’ai beaucoup hésité et me suis posé pleins de question quand à la structure du texte , sa contenance , sa consistance ou les liens entre les différents chapitres . La logique aurait voulu que je consulte cette page avant d’écrire mais j’ai juste eu envie de suivre mon inspiration et de coucher les mots un par un . Au final , après quinze heures d’écriture étalé sur quatre jours le résultat fut assez plaisant . Je n’ai pas encore fini bien sûr mais les choses vont bon train et je suis déjà en train de penser à un second volet car trop de choses à raconter et je ne veux pas sortir un pavé pour ma première expérience .Moi qui aime avant tout les sciences et les maths , je découvre à 42 ans que j’aime écrire et me suis réconcilié avec la lecture ( et oui , il faut aussi se relire ) .Je ne sais pas si mon roman sera publié mais je l’écris tout de même . C’est un plaisir que je viens de découvrir et je compte bien aller jusqu’au bout de l’aventure . Je vous dis à tous bonne chance et persévérez .
Bonjour les gens!
Mais une question, je me permets, qui de vous a déjà été publié?
Merci
salut j,ai écrit un roman de 23 chapitre c’est tu ok ??
Bonjour à chacun, chacune,
Je suis accompagnée d’une très chouette manière et originale pour l’édition de mob premier livre avec Laurence Arpi Formation qui propose une Formation Créer votre Richesse en Écrivant quels que soient nos facilités ou pas à écrire…
Tout de bon à chacun, chacune pour éditer !
Personnellement je ne m’aide d’aucune méthode : car j’estime que la créativité, l’écriture provient de soi, de notre âme. J’ai une manière « intuitive » d’écrire, donc finalement cela se passe de formations ou de « coaching ». Je ne pense pas du tout que d’écrire un livre doit trop se programmer ou mentalisée. On a juste oublié notre connexion à l’âme, ce qui fait qu’au lieu de nous écouter, on a besoin d’un coach ou d’une formation pour des choses qui finalement devrait venir de nous. De trouver notre façon d’écrire ou de créer. C’est ce que j’ai fait (autant pour l’écriture ou le dessin), je n’ai quasi jamais eu de cours de dessin ou de coach en écriture, et il est très rare que je regarde des videos ou sites techniques sur ces sujets. J’ai laissée parler mon âme et tout est venu.
Je pense qu’on mentalise trop notre rapport à la créativité : et qu’on se relie à d’autres que soit pour nous faire avancer, alors qu’en fait tout est en nous. Et quelque chose de trop technique ou structurée en ferait perdre l’âme.
Par exemple, moi je fais les chapitres au feeling. Je sais intuitivement quand ils doivent commencer ou finir, sans que jai besoin de tout reprendre ensuite. JE me laisse vraiment porter.
Bref je pense que « créer sa propre richesse » ne se programme pas ou ne se coache pas, mais provient du langage fluide et intuitif de notre âme = connexion à nous-même, pour trouver nos trésors intérieurs. La créativité vient de l’imaginaire, de l’abstrait, du spirituel mais l’humain veut finalement la conditionner ou l’englober dans quelque chose de trop structuré, ce qui parfois en retire justement l’âme. POur bien écrire, il faut se laisser porter au niveau de l’âme et non pas trop réfléchir car cela bloque.
La preuve, quand je me laisse porter intuitivement je peux écrire un chapitre en 10 min car j’ai tout un flot de mots, de phrases qui me viennent sans que j’ai besoin de réfléchir. ALors que quand je mentalise, cela me bloque , et je peux trainer longtemps devant un chapitre.
Bonsoir.
Si vous avez appris à conduire de la même manière que vous prétendez écrire, les séminaires pour reconstituer vos points vous seront fort utiles. L’intuition guide l’inspiration mais ne suffit pas. Vous pourriez jongler avec un ballon pendant des heures tout en étant une très mauvaise joueuse de football et les exemples foisonnent. Connaissez-vous la différence entre toll et troll? Il suffit d’un peu d’air…
Bien dit Jerry John. Elle est médiocre et vaniteuse.
Tu ne te rends pas compte que ce qui te vas ne vas pas forcément aux autres. Certains ont besoin d’une aide pour se canaliser et cela ne tue en rien la créativité. Quelle vanité !! Moi je suis la meilleure, moi je n’ai pas besoin de ça… Non seulement tu te la raconte, mais en plus tu parles comme si tu avais publié qlq chose et qu’on t’avais décerné le prix Goncourt. Pour tes dessins, excuse moi mais un gosse de 4 ans dessine 100 fois mieux. Tu devrais peut être penser à prendre des cours. A commencer par des cours d’éducation. Médiocre et vaniteuse.
Merci de ce commentaire. Je suis entièrement d’accord avec cela.
Peut-être que certains n’ont pas cet accès que vous possédez?
Ou bien encore veulent-ils faire dans le best-seller et le page-turning. (Comment dit-on en français, l’accrocheur d’oeil?)
Oleudare
C’est marrant de voir tant de fautes d’orthographe et de grammaire sur un forum littéraire !
c’est sûr mais parfois avoir l’art d’écrire est différent de l’art de la grammaire ou de l’orthographe. On peut savoir mettre les mots en forme etc, mais avoir du mal avec l’orthographe. Un ami à moi était très intelligent, philosophe etc et écrivait des textes hautement philosophiques mais avec des fautes. Malheureusement les fautes proviennent souvent d’une mauvaise compréhension ou apprentissage de l’écrit pendant l’enfance, et adulte, les gens n’ont pas forcément l’envie de s’y replonger. Pour ma part j’ai aidée cet ami à mieux comprendre, et ça marche il n’a plus peur de poster et fait beaucoup moins de fautes (alors que la plupart des gens se précipitent pour lui dire les fautes mais aucune pour lui dire ce qu’elles pensent du texte, c’est navrant)….Donc oui j’en ai un peu marre de la diatribe superficielle sur l’orthographe, quant à côté le texte peut être d’une puissance ou excellence sans pareil. A coté de ça, certains ne font pas de fautes mais ne seraient pas capables de composer un poème ou un texte.
Personnelement, je me demande également combien de mots différent un roman devrais comporter en moyenne.
UN roman ne conportant que 2000 mots différent serait-il pauvre et un de 10000 mots différent riche?
A combien de mots différent peut-on s’attendre?
Plus il y a de mots différent, plus il va être facile pour l’auteur d’éviter les mots répétitifs. Et aussi de montrer la richesse de son langage.
Un auteur avec un pauvre langage va dévoiler que poser le pied dans une médiathèque ou voir même ouvrir un dictionnaire est un « rendez-vous en terre inconnus ».
Bonjour, je ne sais pas si éventuellement quelqu’un pourrait m’aider ici…
Voilà, j’ai comme projet d’écrire un livre, je suis très mauvaise en orthographe et en mot diplomates mais heureusement, d’après ce que j’ai compris, des personnes compétentes peuvent nous corrigé tout sa.
Ici, je recheche depuis 6 mois une personne qui pourrait m’accompagner dans ce projet, de façon à pouvoir répondre aux nombreuses questions que je me pose sachant que je suis inconnue dans le domaine d’écrivain… j’ai commencé à noté les prénoms/âges des personnages figurant dans l’histoire, et également fait un petit résumée pour moi-même. Mais j’ai énormément de questions, et beaucoup à apprendre. Pour certaines raisons je souhaite faire ce livre le plus rapidement possible, car j’ai pu lire qu’il fallait en moyenne 2 ans pour en écrire un, ce qui est assez long pour ma « raison »
Si quelqu’un est d’accord de m’aider cela sera avec plaisir ! Merci d’avance
Alison.
Salut Alison, je suis en train de peaufiner mon roman et j’ai l’impression que c’est encore plus ardu que de le rédiger ! Je veux bien t’aider à écrire ton livre et ça me fera de l’expérience.
Je réponds très tardivement à ce commentaire (mais cela peut servir à d’autres), je voulais juste réagir sur le fait qu’il fallait en moyenne 2 ans pour écrire un livre. Pour moi c’est une statistique erronée. Car écrire un livre dépend de beaucoup de choses : de sa taille, de l’inspiration, l’investissement/énergie/temps qu’on y mets, etc….Or moi j’ai commencé à écrire mon livre en février 2020, et aujoud’hui, en juillet 2020, je peux dire que j’en suis à plus de la moitié et que je vais sans doute le terminer avant la fin de l’été. Donc il ne faut pas trop se mettre d’idées ou de stats en tête, car chaque écrivain a sa manière de faire, et son propre rythme. Certains le finiront plus vite que d’autres. Encore une fois cela dépend vraiment de paramètres différents, donc il me semble vraiment incohérent de donner un délai à l’écriture d’un livre. Cela ne repose que sur vous, et sur votre motivation et inspiration. J’imagine et espère que vous aurez mener votre projet à bien depuis 🙂
Tellement vrai ! J’ai fini l’un des miens en deux mois tant j’étais inspirée. Il n’y a pas de vérité absolue dans ce domaine. Chaque auteur est différent.
Bonsoir je suis un peu en retard sur le temps mais il n’est jamais trop tard pour réalisé ces rêves tant qu’on a la vie devant nous . Je veux juste un peu d’aide car je n’ai pas beaucoup d’expérience dans la domaine mais je l’aime je veux faire de tout mon possible pour y arriver je me lance dans un romant et là je n’arrive plus à trouver l’inspiration pour continuer si quelqu’un si sens volontaire de m’aider ça ne serait pas du refus ±50939910762 c’est mon numéro whatsap écrit moi stp celui ou celle qui se porte volontaire j’ai besoin d’aide 🙏🙏
Bonjour
Je peux t’aider. Pour pouvoir plus en parler voici mon mail.
J’ai découvert de forum il y a peu comme toi Lilou et s’y revient temps à autres. J’ai effacer les chapitres du livre pour le moment, je les ais noter sur une feuille avec leurs emplacement et j’essaie de mieux les replacer à l’aide d’une relecture. 45 page pour le moment sur un format quasi A5.
Pour toi Lilou comme pour Marc, ce n’est pas le nombre de caractère qui est le plus important. Mais plutôt ce qu’ils racontent. cela dépend aussi du format de la page, et de la police d’écriture.
Concernant le format je suis sur du A4 en 12 Time New Roman interligne à 1,2
regarde ce que sa donne sur un format A5
pour un format A5 je suis à 418 785 et 445 pages
dac, si tu a discrod, je donne le lien d’un serveur que je vien de crée pour communiquer plus facilement :
https://discord.gg/TX4ngJS
Salut tout le monde, je viens de tomber sur ce forum et cela me laisse perplexe. J’écris depuis maintenant 10 ans, et je me lance réellement cette année sur une histoire fantastique que je compte faire publier. Actuellement j’écris sur Pages (propre à mac) mais voila il y a un hic qui me perturbe. J’en suis au chapitre 20 (bientôt 21), et j’ai actuellement 396 061 caractères en 209 pages. Est-ce trop ? Où bien cela passe-t-il ?
je sais que ce forum date d’il y a un petit moment, mais j’espère quand même avoir une réponse.
Merci d’avance ! 🙂
Rebonjour Lilou,
Combien comptent de mots ton romans ? C’est en nombre de mots que les éditeurs calculent la longueur d’un roman et pas en nombre de caractères. Dans ce calcul, ils ne tiennent pas non plus compte de la police ou de la présentation : seulement le nombre de mots. D’ailleurs, il y a une présentation »standard » pour présenter un ouvrage à un éditeur.
Je m’interrogeais sur le nombre de mots par chapitre mais concernant le nombre de mots par roman, j’ai lu pas mal de discussions à ce sujet.
J’écris moi aussi depuis quelques années mais je ne suis pas un spécialiste pour autant. Cependant, je me permets de te donner mon humble avis :
Comme l’indique Franck, je pense qu’aucune norme ou aucun dogme, même s’il est plébiscité par des éditeurs, ne doit être un frein à ton expression artistique, en l’espèce l’épanouissement de ton histoire. Je pense donc aussi qu’il ne doit pas y avoir de limite au format/volume d’un roman.
CEPENDANT, pour les éditeurs, lorsqu’il s’agit d’un premier roman, ils préféreront publier un roman moins volumineux (dans les 80 000 mots). La raison est financière. Un roman moins volumineux revient bien moins cher. Si le roman est un échec commercial, les pertes seront moins importantes, dixit une maison d’édition bien connue… A priori un premier roman à 200 000 mots à peu de chance d’être publié à moins que l’auteur soit exceptionnel.
Malheureusement, tout cela est très pragmatique en fait. L’art et la trame sont bien souvent laissés de côtés au profit des bénéfices potentiels….
Exacte, ceci dit, certain éditeur se sont mordu les doigts en voyant le succès d’œuvres dont il disait eux-même que ça ne marcherait pas.
punaise autant de fautes dans si peu d’espace… et sur le fond, c’est complètement faux. Comme disait S.King, écrire est humain, corriger est divin. La plupart des manuscrits refusés ont été corrigés par l’auteur. Mais ce dernier aime bien se vanter de multiples refus…
J’ai actuellement 396 061 caractères en 209 pages.
J’ai commence mon premier roman autobiographique mais je sais pas comment repartir mes idees. Je voudrai parler de ma jeunesse,mes cursus scolaires et les difficultés. Enfin, les grèves répétitives qui ont fait notre difficultés à l’Université.
Bonjours, j’ai commencer l’écriture d’un roman de fiction il y a un petit moment. curieux sur le nombre de chapitre maxi, je remercie l’auteur de cette page pour son aide aviser.
Marc, pour répondre à ta question, il n’y a pas de limite de mots à un chapitre. Pour t’aider relie ton roman en entier, tu devrais ainsi pouvoir jauger par toi même si un chapitre te semble long.
Salut Frank, combien de chapitre pour ton roman du coup ?
Bonjour Lilou,
Merci pour ta réponse.
J’oscille entre 12 et 15 chapitres selon le découpage.
J’ai fait plusieurs découpages : les chapitres les plus longs me paraissent apporter une meilleure configuration au roman.
Bonjour Franck,
Merci pour ta réponse.
J’avais commencé par relier tous les chapitres.
Mais dans le roman, chaque chapitre débute par des dates/heures/lieux différents. Le découpage se fait de lui même en fonction de ces éléments »d’espace/temps ». Je pense que le problème n’est pas le découpage.
Si je veux réduire, il faudrait que je supprime des passages ou que je les écrive de manière plus condensée.
Je m’interroge ainsi parce que certains de mes lecteurs VIP trouvent certains chapitres trop denses ou longs.
Je pense que je vais choisir de ne pas dénaturer mon travail. Je ne vais rien supprimer et tenter le coup ainsi…
Merci encore.
Bonjour,
Je viens de finir l’écriture d’un roman comptant 120 000 mots.
J’attaque la correction.
Le chapitrage est déjà constitué. Difficile d’articuler autrement le roman car d’un chapitre à l’autre : les lieux, dates, horaires et parfois les protagonistes, changent.
Chacun des chapitres est constitué de 8000 à 10 000 mots, parfois davantage.
J’ai lu divers avis çà et là : il semblerait que mes chapitres comptent trop de mots.
Quel est votre avis sur la question ?
A partir de combien de mots, on considère qu’un chapitre est trop long ?
Bien sur, cela est relatif à l’histoire et à sa trame. Pour autant, je suppose qu’il doit y avoir des normes ? Peut être un maximum à ne pas dépasser ?
Est ce quelqu’un pourrait m’éclairer en la matière, cela m’aiderait beaucoup ?
Merci de votre aide.
Bonjour , j’écris mon premier livre de science-fiction. Je l’écris d’abord . Je fais un espace quand je change d’aspect certainement là où je collerai les chapitres mais pour le moment je souhaite surtout accrocher mes lecteurs et franchement je m’éclate déjà moi-même ! Mon souhait est d’en réaliser un film donc je l’écris dans ce but là !
Avec dialogues et tout ce dont un bon film a besoin….
Cordialement
Bonsoir !
Je lis actuellement La Chair et le Sang, d’Audrey Françaix (éd. Octobre).
Il a la particularité de ne pas être chapitré. Toutes les scènes se suivent en étant simplement séparé par » *** »
Ca apporte une lecture très linéaire, assez particulière, mais qui fonctionne très bien car tous les évènements se suivent.
bjr a tous! je me présente je m’appelle Elodie j’ai 33 ans dans quelques jours lol! alors voilà moi aussi j’ai une forte envie d’écrire je travail actuellement sur mon tout premier roman, je l’est écrit un peu comme une autobiographie car je parle de mon expérience personnel face au corps médical, il est donc franc et engager, je ne suis pas sûr que cela plaira mais le but n’est pas d’en faire le prochain super best seller mais plutôt de dénoncer un problème qui nuit à l’image de l’actuel médecine en France. Vous me demanderez surement quel est ce problème alors je vous répond tout de suite on ne sais pas soigner la douleur en France voilà c’est dis et c’est cette douleur et souffrance que je veut mettre en valeur dans mon livre.Une fois que je l’aurai fini je désire le poster sur le net avez vous des idées sur différents sites qui donne la possibilité de le faire? merci bien d’avance d’avoir pris le temps non seulement de lire mon com mais également de me donner des idées ou le poster. Bonne journée a tous!
Je m’interroge sur le nombre de chapitres d’une histoire que j’écris. Je ne suis pas trop exigeante avec moi-même si je me fixe 30 chapitres, sachant que je suis au 14e ?
De quoi dépendent les chapitres ?
Bonjour,
Merci pour l’article et merci pour les commentaires. Le premier active l’enrichissement apporté par les seconds.
Donc, voici mon modeste apport.
Mon expérience: des lettres d’amour, des essais, des documents techniques (les seuls à avoir été publiés en interne), un livre d’auto-motivation en cours d’écriture, 70 romans (j’ai pas le chiffre précis sous les yeux), eux aussi en cours d’écriture. 50% sont achevés à 80% environ (je dis ça quand toutes les idées sont écrites et les scènes terminées ou décrites). L’autre moitié oscille entre 1% (thème) – concerne 2 romans – et 70%.
Pour évaluer mon taux d’avancement, je détermine: la présence de toutes les idées souhaitées pour en faire un livre complet, la présence de toutes les scènes, la structure et la cohérence.
Les 20 derniers pourcentage concernent la qualité, le rythme (il faut qu’après plusieurs relecture, je sois toujours captivé par mon propre roman), l’orthographe et la grammaire, la mise en forme et la mise en page.
Comment je m’y prends:
Au début, je commençais par le début et j’essayais d’aller jusqu’à la fin. Échec!
Maintenant, je prends un thème. Je note toutes les idées sous forme d’une carte mentale.
L’idée peut concerner n’importe quel niveau de concept: thème, sujet, valeurs, scène, histoires croisées, personnages, descriptions, détails. D’où l’intérêt de faire un peu le ménage avec une carte mentale.
Ensuite, au gré de mon inspiration je commence par écrire les parties concernées (par mon inspiration… hihi!)
Ensuite, j’assemble les pièces du puzzle.
Ensuite, je « colle » les pièces. Je veux dire: les transition, les détails pour éviter les erreurs, les incongruences et/ou incohérences.
Du fait de la technique de carte mentale, je donne souvent des titres à mes chapitres très tôt. Mais c’est juste pour les identifier plus facilement que par un simple numéro (au fait? Ça traitait de quoi le chapitre 10?)
Je relis très souvent mais chaque relecture à un objectif différent.
Dans la dernière phase, souvent je renomme les chapitres pour que le titre colle plus à l’impact principal.
Par exemple: j’avais écris un chapitre dans lequel les héros devaient partir en Grèce pour faire les vendanges. Pour identifier le chapitre, je l’ai appelé « Les vendanges ». Mais ils devaient.. Un événement les en empêche.
Évidemment quand le chapitre me paraît terminé, je lui donne un nom plus cohérent.
Pour le choix du titre des chapitres: 2 à 4 mots qui attisent l’intérêt du lecteur.
Par exemple: un chapitre parle d’une compétition, je pourrais l’appeler: « Et le vainqueur est… »
Maintenant, j’aime bien l’idée de Rebecca (J’espère!), dans son commentaire du 23/01/2012 (Oups 4 ans plus tard…) de ne pas mettre de chapitre identifié comme tel ou disposant d’un titre. Je vais peut-être essayer dans ma prochaine idée de livre.
Merci pour avoir lu jusqu’au bout.
Je fonctionne exactement de même façon. La limite est quand on est allés trop loin dans chaque chapitre et qu’on est obligé d’utiliser une colle qui se voit trop pour faire tenir le tout. Il faut avoir le courage et l’intelligence de retirer les chapitre qui demandent trop de colle … pas facile
70 romans en cours d’écriture??
Je n’ai pas tout à fait choisi cette méthode. J’ai fait un résumé détaillé de mon roman (le schéma narratif) puis j’ai créé mes chapitres. J’en ai 26+un prologue et un épilogue. Après, quand j’aurai fini mon roman, je le relirai et je verrai s’il n’y a pas un redécoupage à faire. Merci beaucoup pour tous vos précieux conseils. ^^
super articl !
merci beaucoup 😉
Excellent et fort utile. J’ai revu le roman (le premier… oui) que je suis en train d’écrire avec votre perpective sur les scènes et ça m’aide énormément. Mes premiers relecteurs ont aussi apprécié. Donc bravo et merci. J’ai une question: comment suggérez-vous de séparer « physiquement » les scènes? Un titre me semble lourd mais pourquoi pas. Un espace plus grand entre paragraphes? Pouvez vous donner différents exemples?
Moi, je te conseille de mettre un triangle formé par trois petites étoiles comme on peut le voir dans certains romans. En tous cas, c’est ce que je fais. 😉
Merci. Je vais faire ça aussi! 🙂
Bonjour ! Cet article est vraiment très intéressant ! En effet je cherchais à découper mes chapitres… Mais je n’ai toujours pas débuté dans mon histoire… Je pensais écrire le résumé détaillé de l’ histoire, puis le découper en chapitres…
Grâce à vous, je sais que les chapitres seront à définir après la relecture finale du roman ! Merci !
Tu peux aussi les définir initialement pour te permettre d’écrire une partie et ensuite y revenir plus facilement. Quand tu arrives à l’étape de cohérence, tu peux re-découvrir et/ou renommer.
J’adore cet article ( d’autant plus que je suis en plein brouillon pour un roman d’espionnage) !
Quand je lis, je m’arrête souvent en plein milieu d’un chapitre, du coup je vais u moins au bout du paragraphe ou de la page. Quand c’est au milieu d’une page je pose mon marque-page de façon a visualiser la ligne à lire.
Pour ce qui est des titres, je n’ai pas de préférence du moment qu’il n’en dévoile pas trop.
Par contre, les citations c’est autre chose et je trouve qu’elles nourrissent l’analyse du roman subtilement.
Merci. Idée très intéressante que je vais reprendre: structurer mes paragraphe de telle sorte que le lecteur puisse faire une pause et revenir facilement où il en était.
Ah ! Pile ce que je cherchais cet article. Pour ma part, j’écris mes romans petit à petit, chapitre après chapitre. Je leur donne des noms (les chapitres) et je prévois à chaque fois un peu près ce que je vais écrire dans chaque chapitres mais… en suivant ce rythme, je n’ai jamais réussi à finir un roman. ×_×
Je vais appliquer votre technique et je vais vous informer de ce que cela va donner. Si votre technique marche avec moi ou pas. ^_^
Autrement, magnifique article ! J’ai surtout aimer le dessin de la volaille !
Bonjour marine,
désolé de vous déranger en plus je vois que l’article en question sa fais longtemps peux etre que vous erai meme plus sur ce site ou que vous me répondrai pas mais il faut comme même tente ma chance.
Voila je commence mon roman qui sera par la suite fantastique ou juste sur la vie d’une jeune fille, le probleme c’est que c ‘est pas du a tous le monde de d’evenir auteur, j’espere y arriver bien meme si je suis pas douée pour l’orthograme et la grammaire. J’essaye de parler avec des gens qui savent de quoi il parlent et qui on la passion comme moi ecrire sont propre roman
Merci et bonne journée a vous
Salut Ana,
Je suis, comme toi écrivain débutant. Juste que je débute depuis un peu plus longtemps que toi; apparemment! Héhé!
Je peux partager avec toi les embuches que j’ai pu surmonter dans mon parcours d’écrivain débutant; et comment j’ai réussi à les solutionner.
Sachant qu’un problème dispose de milliers de solutions, cela signifie que je ne prétends pas avoir la réponse parfaite. Juste une qui semble fonctionner pour moi; jusqu’ici.
Pour utiliser l’ordre de ton commentaire:
Tu commences un roman qui sera par la suite fantastique ou juste la vie d’une jeune fille.
Mon interprétation de ce que tu écris est que tu sembles ne pas encore savoir si ce sera juste la vie d’une jeune fille ou bien si tu comptes le faire évoluer vers le domaine du fantastique.
C’est ce qu’il m’est arrivé plusieurs fois. Je commence à écrire en donnant des bases réalistes, puis au fil de mon imagination, je vais dans le fantastique.
Je n’ai pas été très content du résultat parce qu’on voyait trop clairement mon changement d’avis. Pas de transition.
J’en suis venu à une conclusion: Si je veux écrire un roman fantastique, je devrais décider de le faire dès le départ. Pour avoir une idée plus claire de comment faire « voyager » le lecteur de notre version commune de la réalité vers un monde issu de mon imagination.
En terme plus simple: décide de ce que tu veux écrire. Si tu es indécise, tu peux mettre toutes les idées qui te viennent à l’esprit concernant ton idée de roman et voir à quel moment laquelle des versions « réaliste » ou « fantastique » t’attire le plus.
Quand je dis de mettre par écrit toutes les idées qui te viennent, je dis bien TOUTES. Même les plus insignifiantes, les plus surprenantes, les plus « débiles ». Même les idées qui ne semblent pas avoir de rapport immédiat avec ton roman (ai-je bien éteint le gaz?). La raison est une question de fonctionnement du cerveau. Tant que tu as des idées qui te tournent dans la tête, elles vont t’empêcher de passer à d’autres… Parce qu’elles tournent dans ta tête! Et c’est un peu comme un ordinateur qui plante. Il tourne en boucle et ne te laisse jamais passer à l’étape suivante.
Une fois que tu as ces idées, tente de les organiser en fonction des critères qui semblent important pour toi dans la rédaction de ton roman.
Ça peut être le style: forme passive, descriptif, actif ou autre. Ou bien encore l’histoire générale: La trame. les aventures que tu veux faire vivre à ta jeune fille (Ex: d’abord elle se trouve dans la maison de ses parents, puis elle rencontre un jeune homme tellement attirant qu’elle ne pense qu’à lui nuits et jours. Seulement voilà, il n’apparait que les nuits de pluie – on apprendra plus tard qu’il s’agit d’un homme-crapaud; cousin de l’homme grenouille mais sans bouteille de plongée, etc..), certaines scènes qui te tiennent à coeur de décrire (Ex: Anaïs claque la porte et s’enfuit en courant! L’homme-crapaud vient d’ètre avalé par un héronosaure! Il faut qu’elle aille chercher son épée magique pour le combattre) Ou bien encore les idées que tu veux transmettre (Ex: je veux que toutes les jeunes filles qui lisent mon roman comprennent que la vie n’est pas une fatalité. Il existe un espace entre l’action et la réaction. Nous pouvons toujours décider de ce qui est le plus important pour nous dans la vie, etc..)
Tu peux aussi faire la liste des personnages principaux et secondaires. Les décrire sur tous les aspects qui te semblent important (physique, psychologique, style de vêtements, habitudes, etc…) Ce ne sera pas nécessairement écrit en clair dans ton roman, mais cela te permettra d’avoir une certaine cohérence dans la description de ses actes. Ex: Si le gars est issu d’une famille modeste, il n’est pas certain qu’il ait passé du temps à étudier la littérature et comment s’exprimer en respectant les règles officielles du français. Si son attitude est la Gangsta Attitude, il est pas nécessairement au courant des règles de politesse ou de comportement en société ou, alors, il est au courant mais par défiance au système il se rebelle en étant imbuvable avec les gens.
Pour résumer, il s’agit de répondre à la question: Comment je le veux mon roman? Qu’est-ce qu’il va contenir en terme d’histoire, de personnages, de scènes, de description, de style, et tous les autres critères qui te semblent utiles.
Pour ce qui est de la suite de ton commentaire, tu fais des affirmations qui ont tendance à te freiner plutôt qu’à libérer l’écrivaine qui dort en toi.
En affirmant que « ce n’est pas donné à tout le monde d’être auteur », tu ne t’aides pas.
C’est donné à tout le monde d’être auteur. N’importe qui peut-être auteur. Ce qui fait la différence entre un auteur qui est lu et celui qui ne l’est pas ce sont des choses que tu peux apprendre.
L’imagination et la créativité, on l’a tous en nous dès la naissance. C’est inclus dans la livraison! À partir de là, on peut la développer ou la réprimer. C’est notre choix.
Mais pour tout ce qui est du reste, ça s’apprend!
Donc, le seul conseil qui me semble important à te donner sur cette partie de ton commentaire, c’est: pose-toi les bonnes questions.
Une bonne question, c’est une question qui t’aide à progresser ou à obtenir le résultat que tu désires.
Qu’est-ce qu’il faut que j’améliore, change ou apprenne pour devenir l’auteure que je rêve être?
Si tu n’es pas contente de la qualité de ton orthographe ni de celle de ta grammaire (je ne parle pas de ta grand-mère! hihi!), pose-toi la question:
Comment puis-je améliorer mon orthographe et ma grammaire?
Et avant toute autre question, LA question princiaple: Qu’est-ce que je suis décidée à faire pour devenir auteure?
Si la réponse: Je suis prête à tout pour devenir auteure, alors je peux affirmer que tu as vraiment la passion de l’écriture.
L’important c’est de ne jamais abandonner. Tout est faisable. Tu peux télécharger des cours gratuits d’orthographe et de grammaire sur l’Internet.
Tu peux te faire assister d’un programme de correction grammaticale et orthographique; ou d’un relecteur qui te corrigera les fautes.
Tu peux prendre des cours du soir ou des cours particuliers. Tu peux lire et lire encore.
Tu peux apprendre à être attentive à ce que tu écris et/ou à ce que les autres écrivent (chercher les fautes d’orthographe dans les blogues ou les revues: fautes de clavier, fautes d’inattention, erreurs systématiques, orthographe, grammaire, usage des mots, etc.. ET les corriger! Pour t’habituer à écrire correctement.)
Voilà. C’est ce qui me vient à l’idée en lisant ton commentaire. J’espère que ça (et pas « sa ») te sera d’une certaine utilité.
Amitiés.
Cela aide beaucoup merci. Déjà écris 78 page et huit chapitre. J écris depuis toute petite comme ça mais jamais osé écrire un roman. Aujourd’hui c’est fait je me lance. Et j aimerais que mon roman soit éditer et ferai tout pour sa. J adore écrire c est une passion encore merci
Cordialement marina
Et alors ça donne quoi ?
T’y arrives mieux avec la technique du découpage à la fin ?
Merci de me répondre, ton expérience m’intéresse
Bonne journée/soirée/nuit
😀
Oui! Moi non plus ça n’a pas fonctionné en essayant de commencer par le début et terminer par la fin.
J’ai commencé à avoir un peu plus d’espoir en utilisant la technique des cartes mentales: mettre par écrit toutes les idées. Toutes! Peu importe ce qu’elles concernent. Ensuite je les organisent dans une carte mentale.
Au centre le nom ou thème du livre et ensuite une arborescence en étoile qui peut aborder des niveaux comme: personnages, lieu(x), époque(s), intrigue(s), Relation(s), histoires croisées, etc.
Les sous-niveaux ensuite.
Par exemple dans Personnage: la liste des personnages (je peux la faire évoluer en supprimant ou ajoutant des personnages), Leur personnalité, les liens, les scènes, etc.
Et ainsi de suite pour chaque niveaux parents.
Bonjour,
Merci pour cet article qui nous éclaire nous autres amateurs. J’aime l’idée citée plus haut que les chapitres représentent une « respiration » dans la lecture d’un roman. C’est vrai que si c’est un découpage que l’on fait (souvent) en cours d’écriture, on le revoit généralement arrivé à la fin pour qu’il s’intègre harmonieusement à l’histoire et la soutienne au lieu de l’écraser.
moi je ne fais pas attention au citation mais le titre je le lit souvent tout d’un coup mais je peut m’arrêter n’importe ou même si je préfère finir le chapitre.es que ses important de ne pas finir un chapitre sur un sujet et de le continué dans un autre ? merci d’avance pour la raiponce !
Je pense que tout dépend de la portée du sujet.
Par exemple:
Si le sujet concerne la trame essentielle du livre, t’as pas d’autre choix que de le faire courir au long des chapitres.
Si le sujet concerne une partie de l’intrigue, comme une clé pour déverrouiller la suite du livre, tu peux le faire courir sur plusieurs chapitres.
Si le sujet concerne une scène en particulier, il est plus logique de terminer le chapitre après la scène… Sauf si… On veut intégrer un peu de « suspense »… Tadaaaa!!!
moi je ne fais pas attention au citation mais au titre je le lit souvent tout d’un coup mais je peut m’arrêter n’importe ou même si je préfère finir le chapitre.es que ses important de ne pas finir un chapitre sur un sujet et de le continué dans un autre ? merci d’avance pour la raiponce !
A la maison c’est toujours : « A taaable ! – Attends, je finis mon chapitre ! » Je n’aime pas fermer mon livre n’importe où x)
Après je ne fais pas spécialement attention au titre mais parfois quand j’achète un livre ça m’arrive de regarder la table des matières pour me faire une idée générale.
Le truc en écriture, si j’ai bien compris, serais presque de ne constituer les chapitres qu’une fois le roman écrit du début à la fin …
Oui en gros, c’est ça l’idée, mais il n’est pas nécessaire d’attendre que le livre soit écrit du début à la fin : pour ceux qui construisent leur histoire avant, ils peuvent prévoir le découpage en fonction des différentes articulations.
Il faut « remonter » cet article génial ! Un grand merci
Dès que j’aurais le Goncourt, je ne manquerais pas de
vous citer dans mes dédicaces !!!
Salut à tous, c’est vrai pour moi : au début, je me demandais combien de pages par chapîtres. j’en avais d’abord mis 5 puis 7 et j’ai lu cet article et j’ai compris; il faut que j’écrive tout mon livre et après je le découpe. Merci à l’auteur. Thank you ;).
Bonjour à toutes et à tous. Je suis tombé par bonheur sur ce blog qui m’a donné en partie les réponses à mes questions. Après avoir écrit et publié quelques nouvelles, l’envie m’a pris de m’essayer au roman plus dense et plus structuré. Arrivé à la soixantième page et après avoir disposé mes têtes de chapitre au petit bonheur la chance, je lis ici même qu’il vaut mieux terminer le roman et le découper ensuite.
Au nombre de pages indiquées plus haut j’ai appliqué 12 chapitres qui, si je compte bien me donne des « plages » de 5 pages environ.
Mon texte est composé également de « flash back » et c’est ce qui m’a incité à programmer autant de têtes de chapitres. Par ailleurs, en écrivant, je considérais que le passage à un autre chapitre permettait une « respiration » au lecteur. Finalement je vais m’en remettre à vos consignes. Une fois que j’aurais terminé je ferais le découpage. …En tout cas, un grand merci pour cet article !
Bonjour tout le monde, je suis un auteur de 23 ans et je m’apprete a publier mon premier roman. merci pour cet article, il m’est tres instructif. Pour mon premier livre, je n’ai pas vraiment eu une marche a suivre pour les chapitres ou l’intrigue, les mots tombeaient sur la page blanche comme par magie, alors je me demande si je dois continuer a ecrire comme ca ou bien me structurer. j’ai tendance a suivre mon istinct et faire a ma mamiere. que me conseillez-vs? merci.
Bonjour, intéressant cet article.
En tant que lectrice, le découpage de chapitre n’est pas ce qui décide de mes pauses, pas du tout. Souvent, je les marque en plein chapitre, il ne faut pas y chercher de sens : ce qui décide de mes pauses est ma vie (le travail la plupart du temps, mais un petit aléas suffit). Malgré tout, même si ce n’est pas pour les pauses, les chapitres sont importants pour structurer et se repérer. J’apprécie lorsqu’il y a un titre et/ou une citation.
En tant qu’auteur, je me prend rarement la tête sur ce sujet, ça se décide vite. Un ou deux point importants par chapitre, un besoin de changer le point de vue… Je ne dirais pas que c’est la meilleur méthode, mais c’est celle qui me convient, et puis rien n’empêche les modifications. Sinon, je met toujours un titre, fini toujours à la fin d’une scène, et ne met jamais de citation ou de cliffhanger. Quant au nombre d’or, il est intéressant de le savoir. Je n’écrirais pas en fonction, mais je m’amuserais à compter mes scènes pour voir si ça correspond.
Merci pour l’article.
Bonjour Chris
En réponse à ton commentaire, je ne parlerais pas exactement que « mathématiser » L’écriture d’un roman mais je dirais plutôt savoir la structurer. En lisant plusieurs auteurs comme Jk Rowling/Stephenie Meyer/ ou encore Stephane King j’ai beaucoup appris de leur façon d’écrire un chapitre.
De mon point de vue, le fait de définir le nombre de page de 9 à 11 pages me permet de rédiger un chapitre ni trop long ni trop court mais qui rassemble les idées fixées depuis le départ. Cela m’évite de me perdre en chemin. En ce qui concerne le nombre de chapitre à écrire, je justifie L’approximation de 60 chapitres en me basant sur la quantité d’idée que je possède et le nombre de brouillon que j’ai travaillé ces deux dernières années.
Bien sur je te rassure il y a toujours une part de spontanéité gerée par l’imagination et la créativité lorsque j’écris mon roman. Je te le dis c’est cette petite fée comme tu le dis qui me guide quand j’écris mes pages mais elle définit cependant ce que je dois mettre ou ne pas mettre / ce que je dois ajouter ou ne pas ajouter / ce que je dois modifier ou ne pas modifier.
Parfois j’ai l’impression que c’est mon livre qui s’écrit tout seul et que mes mains ne sont que les instruments pour qu’il puisse se révéler à moi.
Bonne journée à toi et aux autres
Bonjour Chris
En réponse à ton commentaire, je ne parlerais pas exactement que « mathématiser » L’écriture d’un roman mais je dirais plutôt savoir la structurer. En lisant plusieurs auteurs comme Jk Rowling/Stephenie Meyer/ ou encore Stephane King j’ai beaucoup appris de leur façon d’écrire un chapitre.
De mon point de vue, le fait de définir le nombre de page de 9 à 11 pages me permet de rédiger un chapitre ni trop long ni trop court mais qui rassemble les idées fixées depuis le départ. Cela me m’évite de me perdre en chemin. En ce qui concerne le nombre de chapitre à écrire, je justifie L’approximation de 60 chapitres en me basant sur la quantité d’idée que je possède et le nombre de brouillon que j’ai travaillé ces deux dernières années.
Bien sur je te rassure il y a toujours une part de spontanéité gerrée par l’imagination et la créativité lorsque j’écris mon roman. Je te le dis c’est cette petite fée comme tu le dis qui me guide quand j’écris mes pages mais elle définit cependant ce que je dois mettre ou ne pas mettre / ce que je dois ajouter ou ne pas ajouter / ce que je dois modifier ou ne pas modifier.
Parfois j’ai lim
Bonjour
Déjà je voulais que je trouve cet article très instructif. Je voulais également partager mon point de vue sur les chapitres et leurs pages. En ce qui me concerne, dans le roman que j’écris, j’ai déjà un nombre défini de page que je mets à l’intérieur de chaque chapitre (9 minimum & 11 maximum) même s’il m’arrive parfois de dépasser le nombre de page plus ou moins pensé au préalable parce que le chapitre ne m’a pas encore tout révélé. Sinon pour le nombre de chapitre, je me suis donné une estimation de 60 chapitres étant donné le nombre d’idée que j’ai mis de côté. Je ne sais pas si ça déplait ou décourage les lecteurs potentiels de lire une longue histoire avec plus de 400 pages mais si l’originalité de l’histoire est là, normalement ça peut compenser la longueur.
Après je suis ouvert aux autres avis sur la question.
Bonne journée à tous
Bonjour ,
Miguel je suis intéressée par ton partage, car j’avoue avoir du mal à envisager que l’on puisse « mathématiser » à ce point l’écriture d’un roman. Je penchais plutôt pour une sorte de spontanéité – gérée par certains impératifs soit- mais laissant la part belle à cette fée qu’est l’imagination sans laquelle, de mon point de vue, aucune œuvre ne saurait voir le jour. Mais je m’aventure en eaux profondes car je n’ai (pas encore!) pondu quoi que ce soit en passe d’être édité!
Quoi qu’il en soit, vos articles (Manuel), et témoignages, (les autres) sont passionnants! Merci!
Bonjour,
Très chouette article. Pour ma part, sans le savoir, je fais tout comme il dit 🙂 (ou à peu près, suis pas écrivain, du moins, pas encore 😉 ). Mais comme je suis encore loin d’avoir fini la « chose » qui devrait, normalement, ressembler à un roman, les découpages changeront probablement au fur et à mesure. La preuve, j’ai deux prologues et je ne sais lequel choisir !
De mon côté, je me moque d’avoir un titre de chapitre, dans un roman du moins, car en général, j’arrête de lire quand j’ai les yeux qui se ferment et que je ne comprends plus les mots que je lis… alors, parfois c’est à fin d’une scène ou d’un chapitre, mais la plupart du temps, c’est au milieu d’une page :). Par contre, contrairement à Rébecca, j’aime avoir des chapitres, cela me permet de revenir en arrière quand j’ai oublié où j’en étais (vu que j’ai toujours plusieurs livres en lecture en même temps) sans devoir remonter trop loin dans les pages.
Je trouve pratique la numérotation des chapitres pour les élèves qui doivent faire des travaux sur des bouquins, cela aide également à structurer le travail.
Bon week-end à toutes et tous.
Lorsque j’écris, je découpe mes chapitres au fur et à mesure, sans rien prédéfinir à l’avance. j’ai mon plan détaillé sous les yeux, et généralement, les choses se sont assez simplement. Le jeu des taille de chapitre est assez intéressant. J’aime jouer sur les contrastes, mettre un chapitre de quelques phrase à la suite d’un qui fait une bonne dizaine de page. C’est très utile lorsqu’il s’agit de marquer une rupture spatio-temporelle.
Pour les parties… Je dois dire que je n’y avais même pas songé. Mais c’est peut-être LA bonne idée du jour. J’ai adopté une structure un peu trop complexe à mon gout. (Trop de rebondissement.). L’utilisation de partie permet de structurer un peu l’histoire, de lui offrir un cadre, et de mettre en valeur des actions qui seraient passées aux oubliettes si le roman n’avait été écrit que d’un seul bloque.
Bref, Thank’s pour cet article !
Welcome Melo !
C’est vrai que c’est tentant de complexifier l’intrigue avec beaucoup de rebondissements. On a l’impression d’avoir une histoire fournie, comme s’il fallait occuper son lecteur. Oui, ok, il faut le distraire. Mais mieux vaut aller en profondeur. C’est un peu comme des vagues océaniques : quand elles sont petites, elles montent et descendent à vitesse élevée, mais ça ne change pas grand chose quand on nage. Quand c’est de la houle, l’amplitude est beaucoup plus grande et ça devient de vraies montagnes russes. C’est pareil pour l’histoire. Tiens ! allez, ça sera l’objet de mon prochain article !
(et au passage : merci Manuel 😉 )
Merci à toi, Éric, pour tes partages intéressants, ton temps et tes réponses toujours pertinentes.
Pour ma part, j’aime lire des romans très très longs et très très bien écrits ! Quand c’est le cas, cela ne m’ennuie pas qu’il n’y ait pas de chapitres, au contraire, je préfère décider de m’arrêter au hasard des pages (c’est souvent au cours d’une longue description, un peu moins palpitante que le reste !). Je n’aime pas non plus avoir des titres, ça gâche le plaisir en focalisant notre attention sur un élément qu’on n’aurait peut être pas choisi seul.
Par contre, je sais que cette appréciation n’est que personnelle et rarement partagée. Du coup, à la fin de la phase d’écriture, je partage mes propres romans en chapitres (avec un peu de regret certes !).
Je pense vraiment que l’important au moment où on écrit n’est pas de se focaliser sur la longueur des chapitres mais sur le rythme de l’histoire : faire attention de ne pas faire de la description pendant 10 pages, alterner dialogues, moments intenses et temps plus calmes etc.
Oui, Rébecca : le rythme de l’histoire me semble aussi bien plus essentiel que le rythme des chapitres !
Les chapitres, c’est le rythme qui apparaît d’abord au lecteur. Quand on débute dans l’écriture, c’est tentant de croire que le rythme le plus important est celui qui est le plus visible…
Mais ce rythme (facultatif et de présentation) vient en dernier pour l’auteur.
Très bonne article. En tant que lecteur je déteste m’arreter en plein milieu d’un chapitre. Il m’est égal que le chapitre est un titre et je fais attention au citation qu’il l’accompagne.
Merci pour le compliment, Sylvain !
Ah oui ? Les citations te parlent plus que les titres. C’est intéressant. Peut-être qu’une citation est plus complète qu’un titre ?
Oui les citations me parlent beaucoup plus sa met une bonne ambiance souvent
C’est exactement ce dont j’avais besoin 😀
Ca va vraiment m’aider à organiser le plan de mon histoire.
Pour l’instant j’ai commencer à mettre mes idées en ordres et à trouver des liens entre elle.
Je pense que ça commence bien 🙂
Super ! Heureux que ça puisse te servir ! 🙂
Bonjour,
Lorsque je lis un roman, je préfères m’arrêter à la fin de chaque chapitres, cela est plus facile pour reprendre la lecture du livre.
En revanche, lorsque je suis obliger de terminer ma lecture dans un chapitre que j’ai déjà commencé, il est difficile de reprendre la lecture et, souvent, je suis obligé de recommencer de lire le chapitre pour me rappeller des scènes précédentes.
Parfois, je préfères lorsqu’il y a des titres aux chapitres, cela les introduits plus facilement.
Les titres nous donnent une petite idée de se qui nous attend, sans nous la dévoiler, ce qui est agréable pour le lecteur.
Oui, Mat, je suis un peu comme toi. Et je pense qu’un grand nombre de lecteur aussi.
Les chapitres restent de la présentation, plus ou moins indépendante de l’histoire, mais c’est bien pratique quand même ! et c’est une occasion supplémentaire pour l’auteur de communiquer avec son lecteur.
super article qui répond à beaucoup de questions de façons claire et précise. Je ne connaissais pas le nombre d’Or, je vais essayer de voir si il est bel et bien là quand j’aurai fini.
j’ai tendance à faire mes chapitres au fur et à mesure, en les arrêtant et les démarrant au début et à la fin d’un tout cohérent, me semble-t-il, mais peut-être faudra-t-il les redécouper à la fin.
j’aime bien l’idée du lecteur qui ferme le livre à la fin d’un chapitre avec un gout de « revenez’y », c’est tout à fait ça, ça a l’air évident mais ça va mieux en l’expliquant.
merci pour cet article intéressant!!
Merci Françoise, je suis heureux que ça te plaise. 🙂
Le but de cet article n’était pas vraiment de parler du « nombre d’Or ». En tout cas, il ne faudrait pas le rechercher pour lui-même. Il vient plus ou moins naturellement de la construction d’une histoire « complète », comme une conséquence qui sert d’indicateur. Comme les chapitres, ce n’est pas une coquille prédéfinie à remplir.
Après, on peut effectivement « prévoir » plus ou moins ce qu’on va dire dans un chapitre de telle ou telle taille… C’est juste plus difficile de maîtriser la progression qu’on propose au lecteur. 😉
Bonjour,
Excellent article, très intéressant. En effet je trouve que le fait de scinder un livre en plusieurs parties permet une meilleure digestion, on s’éloigne de la disserte qui est quant à elle carrément imbuvable.
Je ne pense – personnellement – pas que les livres doivent avoir des chapitres de taille équivalente ; j’ai déjà lu des oeuvres dans lesquelles on retrouvait des chapitres de moins de 5 pages qui marquaient une transition ou juste une petit scène que l’auteur veut vraiment mettre en avant, alors que les autres chapitres en mesuraient cinq à dix fois plus !
Les coupures servent à marquer une pause, on laisse un peu le lecteur réfléchir sur le chapitre qu’il vient de lire, souffler un peu avant qu’il se lance dans le suivant.
Cette pause m’est également très utile quand je souhaite vite boire un coup, manger un morceau, prendre des notes ou bien lorsque je dois partir ; une fois encore, cela permet de rendre le texte moins « imbuvable » !
Enfin je trouve que de mettre un titre à un chapitre est très intéressant, surtout quand celui-ci est un jeu de mot ou une suggestion implicite ! Les citations qui sont placées en en-tête de chapitre sont également très souvent superbes et j’en collecte beaucoup !
Merci pour cet article 🙂
À bientôt
Alexis
Merci Alexis pour ce témoignage. 🙂
Il est vrai que les beaucoup de livres n’ont pas de chapitres égaux.
Choisir ses citations (ou en inventer) donne une ouverture sur autre chose que l’histoire elle-même. On peut découvrir un autre auteur, des bribes de l’arrière-histoire (qu’on appelle aussi dessous de l’histoire, c’est-à-dire ce qui appartient à l’univers de l’intrigue, mais n’y intervient pas directement).
Par rapport à la dissertation, la différence n’est pas seulement de forme : l’histoire donne toute la place à l’émotion (même s’il y a aussi un message intellectuel qui passe à travers) ; tandis que la dissertation fait d’abord appel à l’intelligence. De sorte qu’on pourrait très bien imaginer un roman sans chapitre, mais qui raconterait quand même une histoire ! 😉
Bonsoir, car je vous remercie beaucoup pour cet article.
En effet, je souhaiterais que sa se passe ainsi pour à mieux se gérer pour nos romans avenir et à bien s’installer dans l’écriture.